Hélas, je n'ai jamais su apprécier
-Au grand dam de ma mère- les rosiers,
La sagesse sacrée, la lune pâle,
Les cuisses lisses, aussi l'étreinte douce,
Un parfum suave, les couleurs d'un châle,
Les longs cheveux, les champs de fleurs et pousses.J'ai préféré, longtemps secrètement,
Amour honteux plein de regards voyeurs,
L'été, le soleil, le musc envoûtant
Le tabac, les lèvres fendues, les cœurs,
Les gorges et l'orgueil, l'orage et la haine,
Les coups de reins, les griffures malsaines.
●21/04/23
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Cri d'un suicidé
诗歌Quelques poèmes, un peu de graphite et de page froissées. Des larmes, de l'encre, des mots bancales. Une main jeune plus adroite que des cordes vocales. . . . . . . Un peu de Rimbaud, de Pomme, de Baudelaire, de Tamino et de poésie marchombre, broyé...