Aujourd'hui enfin, tu ne m'a pas tué.
Quand je l'ai vu dormir dans tes bras, j'ai été
Surpris que rien ne s'effondre sous le poids de
Mon échec, mes poèmes, et des torrents bleus.
Aucun soleil mort, pas de vol d'oiseau cessé,
Seul un sourire faible à ton regard sur elle.
Pas un seul vers, pas même un sanglot cruel.
J'étais heureux pour toi, je crois, pour vous deux et
Je te laisse enfin partir bien que tu ne m'ais
Pas une seule fois demander de rester.
●02/12/23
CZYTASZ
Cri d'un suicidé
PoezjaQuelques poèmes, un peu de graphite et de page froissées. Des larmes, de l'encre, des mots bancales. Une main jeune plus adroite que des cordes vocales. . . . . . . Un peu de Rimbaud, de Pomme, de Baudelaire, de Tamino et de poésie marchombre, broyé...