chapitre 10 : Galard orvan

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Sir Galard Orvan était mécontent. Le navire chargé du raft avait eu deux jour de retard. Et voilà qu'à peine arrivé il apprenait qu'un Oméga avait réusi à s'échappé.
Pour un marchand il n'était pas très Patient .

Un peu plus tôt...

Dès l'arrivé de ses hôtes, Galard avait prit toute l'attention du general . attablé à son bureau il comptait clairement lui définir ses termes, maintenant que la guerre était fini , L'armé devait lui payer son du. à vrai dire sir galard n'était pas vraimment un marchand à proprement parlé. Il ne marchandait rien .
Il vendait des services à des particuliers .
Besoin d'éliminer quelqu'un ? Pas de problème . De transporter des armes ? Pas de soucis.
D'un prêt ? ça se négociait. C'est ainsi que Garald foncionnait.

Depuis le debut de guerre, il avait rendu de nombreux services à L'armée en échange de quoi, elle fermait les yeux sur ses activités parfois illégales. ça pouvait aller du tranport d'armes et de vivres supplémentaire jusqu'à l'espionnage d'une personne en particuliers ou l'éxécution de celle-ci. Il était incontestablement l'un des plus connu dans son domaine. Mais il avait dépensé beaucoup trop d'argent dans cette guerre et l'armée se devait d'arrangé les choses.
Le general ric Arold avait d'abord été réticent à négocier. Il avait fait patienter l'empereur en faisant escale chez Galard, il ne cachait pas que c'êtait en grande partie grace à ses services qu'il avait pu gagner cette guerre. Mais la somme qu'il démandait était beaucoups trop.

-5000 Pièce d'or ? Et puis quoi encore ?! Criait-t-il. Il n'en était tout simplement pas question. S'il extirpait ne serait-ce la moitié de cet somme d'argent, null doute que les trésorier de l'armé s'en rendrait compte.
la lieutenant Ira debout derrière le general sirotait sa boisson chaude en observant les deux alphas :
- nous ne pouvons pas vous payer ...du moins pas en pièce d'or.

Garald haussa un sourcil interresé
- ah, et comment comptez vous faire ?

La lieutenant arbora un air énigmatique. 
-le raft a été un véritable succés, plusieurs chevaux sont arrivé d'érèth par la terre. Il y'a aussi beaucoup de metaux pour la fabrique d'armes et d'ustensiles, et jamais nous n'avions encore vu un tel gisement de jade à un seul endroit. L'armé pourrait vous offrir une mine à érèth.

- érèth vient à peine d'être saisi. Qu'est ce qui me fait croire que vous ne me roulerez pas dans la farine. Et n'offrirez pas toutes les mines à l'empereur ?

Cette fois ci ce fut arold qui parla :
- Vous doutez de l'armé ? Dois-je vous rappelez notre role dans la survit de votre comerce jusqu'ici ?

- ne me menace pas Arold. Tu sais que j'ai confiance en toi. Mais parfois tu sais, ça ne suffit juste pas.

- Vous pourrez avoir un oméga. Qu'en dite vous ?

Arold manqua de s'étouffer suite aux paroles de la lieutenant.

-Il n'ont pas encore été enregistrés. L'empereur se doute déjà de l'implication des Orvan dans la guerre. Et si jamais il s'en rend compte. Je lui expliquerai. ça servira de gage dans le cas où sir Garald n'obtiend pas de mine.
Vous n'avez rien à y perdre, l'empereur a déja gagné beaucoups durant ces rafts ce n'est pas parcequ'il manque un oméga qu'il va fermer les yeux sur tout ce que l'armée a accompli .

Arold capitula, apres tout, ce n'était qu'une question de temps avant que les omégas d'érèth ne fasse leurs entré dans la cours de l'empereur. Ils finirait tot ou tard, mariés à il ne sait quel noble ou adopté pour certain .

- Vous n'avez pas d'héritier à ce que je sache , continua la lieutnant. Ce serait une belle ocasion pour vous de travailler là dessus. Vous n'aurez pas à vous en séparer même après l'obtention de votre mine .

Garald ne dit rien , tout comme le general ric, il semblait réfléchir à la question quand un bêta débarqua en trombe dans la pièce ésoufflé :

Mon général ! Un oméga a réusi à s'échapper !

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-Qu'on libère les chiens de chasse ! Et fermez toute les entrés et sorties du manoir. Trouvez-le !

le manoir était sens dessus dessous . Partout l'armée et les gardes patrouillaient chaque pièce était fouillé, des douches aux cuisines . Garald était furieux .

Ces Ylennois ne savaient donc pas se tenir ? Il allait étriper les bêtas chargé de leur surveillance .

Il était rester dans son bureau ne supportant pas de voir l'armé defiler dans son manoir comme si de rien n'était .
Mais le temps passait et son chien Gazar méritait emplement une petite balade, ce qui le poussa à se rendre dans son jardin d'intérieur, là au moins il était sur de ne pas se faire derangé. Il détacha son chien qui s'enfuit à travers les buisson et alors que l'effluve des fleurs lui parvenait , Il sorti de sa poche une pipe qu'il fit fumer, dans un soupir. Le boucan du manoir lui parvenait jusqu'ici.
Gazar revint vers lui paniqué, Une bone dizaine de minutes après.

Il avait l'air agité et ne cessait d'aboyer. Agacé par son comportement, Garald trotina quelque pas invitant son chien à se détendre et à en faire de même. Une petite course lui ferait surement grand bien. Mais il n'en fut rien. Gazar continua d'aboyer en direction des pommiers si bien que l'alpha décida de suivre son chien où celui ci le mena.

Il s'agissait d'un pommier, le plus grand de son jardin d'ailleur, bientot il donnerait des beaux fruits.

Garald suivi du regard la direction de son chien et l'arretta net dans sa lancée.
Il y avait quelqu'un alongé au sol, sous le pommier.
Il s'approcha pour mieux observer,
il s'agissait d'un jeune homme, endormis. Recroquevillé au point de fusionner avec l'arbre. Il s'approcha encore et écrasa quelque chose : un biscuit sec, en faite il y'en avait un peu partout éparpillés là et là autour du jeune homme. Ce dernier émis soudainement un couinement qui poussa galard à regarder dans sa direction. Il etait reveillé. Et paraissait apeuré sous le regard du sparte.

Il était plutot petit, et assez mince pour un garçon de son âge, son visage restait quant à lui lérément enfantin avec ses joues ronde rose et ses lèvres pulpeuse d'ou coulait un peu de bave d'allieur.

- Que fais tu dans mes jardin ? Et qui est tu ?
en vrai Garald savait très bien qui était le jeune oméga sous ses yeux . Il n'avait pas mis très longtemps à comprendre. Mais il voulait quand mêne s'assurer que ce dernier parlait. Grand échec. Il tenta alors de se présenter, et invita son intru à faire de même. Il sembla hésiter un instant avant de donner son nom .
Galard répéta son prénom plusieurs fois : Edensopha, c'était un nom typiquement Ylennois; doux, rappellant l'été et la nature. "Den" avait plus d'impact et sonnait plus Sparte se dit-il pour lui même . Ses yeux dérivèrent des iris pervenches qui l'observait au oreilles dréssé du jeune homme . "-Intérésant"
il entreprit alors de prendre le charmant petit  intru  pour le ramener au manoir lorsque le general Arold les héla .









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Sir Galard Orvan

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