36: les choses sérieuses.

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Point de vue : Miguel







Je me sens humilié. Cette une grande humiliation pour moi, notre cartel s'est fait avoir par des inconnues soi-disant venant de Chine. Je sens des petites mains tirées sur mon tee-shirt, je me retourne et c'est Isabella.

- On peut jouer ? Demande-t-elle avec des yeux innocents.

- Pas ce soir Isabella, je suis fatigué.

Elle croise des bras et elle boude. Habituellement, j'aurai craqué face à son comportement mais pas ce soir. Ce soir, je suis de mauvaise humeur. Je l'ai ignorée et j'ai commencé à monter les marches afin de rejoindre ma chambre.

- Miguel, tu ne manges pas ? Me questionna Marià en prenant Isabella dans ses bras.

- J'ai pas faim, déclarais-je en montant les marches.

J'ai monté les dernières marches et j'ai longer le couloir pour rejoindre ma chambre. Ce soir, je n'ai pas envie de parler, ni de rigoler. Je me suis fait baiser sous mes yeux, je sais pas si vous réaliser encore.

J'ai regardé la porte de la chambre de Mina, la lumière était éteinte. J'ai pas envie de la rejoindre cette nuit et de rester pendant plusieurs heures à la regarder entrain de dormir. Mon esprit est emprisonné par autre chose ce soir alors je ne serais pas captivé par elle.

Angela pardonne-moi d'avoir détourner mon attention de toi, je suis perdue, perturber et je sais que ce n'est que le début de mes nombreux problèmes. Alors, je te demande de me comprendre, je te demande de comprendre mon absence ce soir.

J'ai soufflé et j'ai ouvert la porte de ma chambre. J'ai pénétré à l'intérieur et comment vous dire que j'ai retrouvé le seul endroit où mes problèmes ne sont pas au centre de l'attention. Je me suis déshabillé, j'ai pris une douche et je me suis allongé au lit.

Que dois-je faire ? Comment vais-je retrouver ses enfants si mon seul espoir a été pris. Par où commencer, la seule piste est leur maison. Je dois retrouvez ses enfants, préparez la guerre contre l'autre bouffon, je dois gérer mes nombreux terrains et je dois m'assurer que Mina aille mieux.

Trop de responsabilité pour un seul homme et c'est lourd. Est-ce que je vais m'en sortir bien sur car Miguel Pablo Llara ne recule devant rien, il n'a peur de personne. La Colombie s'est moi, la justice s'est moi et la force et le pouvoir, c'est moi encore une fois de plus.

Ces épreuves ne sont que de passage et un simple piratage ne peut pas gâcher mon humeur mais j'ai besoin de calme. Mon esprit a besoin de se vider alors je tombe peu à peu dans un sommeil qui m'emporte loin d'ici et de ses problèmes.

Le lendemain à mon réveil, j'allais beaucoup mieux mais mes pensées étaient toujours captivées par mes problèmes. Une nouvelle journée en espérant que cette journée soit riche en bonne nouvelle et qu'elle puisse être meilleure que la veille. Je me suis redressé, j'ai allumé une cigarette. Pour la fumer, je me suis installé sur le balcon qui m'offrait une belle vue sur la hacienda.

Mon téléphone a rapidement affiché le nom de Juan Arroyo. Je me demande ce qui me veut de bon matin. Il est 9 heures, j'espère que cet appel n'est pas dans le but de me faire chier. Je soupire et je finis par décrocher son appel, je jette ma cigarette.

- Arroyo de bon matin, qu'est-ce qui y'a ? le questionnais-je avant de m'assoir sur une chaise.

- Je t'ai appelé pour une raison précise par pour boire un verre, dit-elle.

VALDEZ Where stories live. Discover now