Secret Story (boyxboy)/Correction

Chapitre III

"Mon plus beau sourire gomme mes défauts."

Me dis-je en me regardant dans le miroir. J'ai ce besoin constant de me regarder, de me trouver beau et je le suis. Mais seul mon visage l'es. Ma beauté éclipse mes anomalies. Une partie de moi refuse de regarder le reste. Après toute ces années, je n'arrive toujours pas à mi-faire, c'est trop laid, trop piteux. Pour moi. Maxime me persuade du contraire, mais seul lui peut me regarder entièrement et lui seul arrive à lire à travers moi malgré mes réticences. Lorsque je suis avec un de mes conquêtes d'un soir, je me débrouille pour leur faire croire que je n'aime pas faire l'amour avec la lumière allumer .

Je repenses sans arrêt à cette période désastreuse, toute la peine et la misère que j'ai enduré, toute les souffrances et les humiliations que j'ai subis, tous s'accumule en moi, je revois les images qui défilent de plus en plus vite. Je n'arrive plus à respirer, j'étouffe, ma vue se brouille, je m'accroche au lavabos et je puises de toute mes forces pour crier le nom de Max. Je me suis égosiller la gorge pour qu'il m'entende. Je ne sens pas la porte de la salle de bain se fracasser et je sens à peine les bras de Maxime qui m'entourent pour m'apaiser.

-Calme-toi, Ezel... Je suis la...

Je n'entend rien à part mes cries et mes pleures qui coulent en abandons sur mes joues. Ces larmes sont mes chagrins.

-Qu'es ce qui t'arrive, merde??

Je me débat contre lui mais il me maintient fermement. J'oublie qu'il est plus fort que moi. Après de longues minutes. je me calmes juste un peu mais pas assez pour recevoir une gifle de sa part. Ce coup suffit net à me faire reprendre mes esprits et je m'écroule au sol entraînant Max avec moi. Je m'accroche à lui comme un aimant, et lui me serre encore plus fort pour me calmer. Il me tend ma pompe respiratoire et réussis à parler.

-Sa à recommencé... Max, sa recommence. Tout. Je revoit encore toutes les scènes dans ma tête...

-Ezel... C'est finis tout sa... C'est derrière toi, tu le sais...

-NON. NON! SA NE SERA JAMAIS FINIS. REGARDE-MOI. SA ME SUIVRAS TOUTE MA VIE.

-Si tu persistes à le croire alors oui sa te suivras.

-J'ai besoin de toi...

Il comprend ce que je veux dire et ne se fait pas prier. Il me relève et nous entraîne dans ma chambre. Je prend néanmoins mes comprimés.

Maxime sait comment épouser mes besoins et ma sensibilité quand je fais une crise de panique. Comme s'il lisait danses pensées il m'embrasse, une fois, puis deux, puis trois... Le temps que je me calme et je répond par un baiser presque désespéré. Alors d'une façon incontrôlable pour lui d'assouvir son besoin et moi de faire disparaître mes angoisses, ont se retrouvent sur mon lit, lui étant à cheval sur moi. Il dégrafe ma ceinture et commence à mettre sa main dans mon caleçon. Instinctivement, je me cambre pour lui en demander plus.

-Max... Dis moi que je suis beau... Le meilleur... Rassure moi...Je murmure entre nos baisers.

-Tu es beau Ezel... Et je suis sincère .

Je reprend ses lèvres et l'attire plus près, je suis déjà torse nu et enlève la sienne, je caresse sont torse du bout des doits et lui continus de bouger contre mon bassin sentant son érection grandissante contre la mienne qui gonfle. Mes mains se baladent sur son dos jusqu'a la chute de ces reins, je les glissent, empoigne fermement ces fesses bombés que j'adore tout particulièrement chez lui, donnant également un coup de bassin en-même temps, où il laisse échapper un soupir. Mais il m'arrête.

-Tu veux arrêter?

-Non, laisse moi faire... Tu as juste à te laissé aller...

Il prend mes mains et les posent aux dessus de ma tête. Sa bouche glisse sur mon cou où il dépose de légers baisers et je frissonne à ce doux contacte, il lèche et suçote cette partie de mon corps dont je suis très réceptif. Il dérive sur ma clavicule et continues ses assauts qui me rendent fou. Avec sa langue il attaque un de me tétons et la suçote alors que de son autre main il joue avec sa jumelle, suite à sa je lâche un long gémissement, je me sens partir petit-à-petit. Je sens le sourire de Maxime et descend dans une lenteur calculée vers mon bas-ventre. Il embrasse les parties honteux de mon corps et je le repousse immédiatement.