Secret Story (boyxboy)/Correction

Chapitre VIII

Désolé chapitre totalement pourris. Pas eu le temps de tout rectifier.

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-Mais tu ne peux pas faire ça!

-Si je peux j'en ai tous les droits. Je t'ai demandé une seule chose, de trouver n'importe quoi et toi tout ce que tu trouve à faire c'est de jouer les baby-sitters.

-Je te ferais savoir que c'est toi qui m'a demander de jouer ce rôle. J'ai déjà chercher partout dans le bureau plusieurs fois et j'ai rien trouver, à part ces quelque documents sur l'entreprise.

-Ne discute pas. Je te retire l'affaire, maintenant retourne dans tout bureau et occupe toi des articles. C'est bien dommage tu avais une carrière prometteur.

Je n'arrive pas à croire qu'il ait pu faire ça. C'est MON affaire et MA carrière qui est en jeux, lui il s'en fou il a atteint les sommets de la gloire et moi aussi je veux faire mes preuves. Comme-ci j'allais l'écouter, je vais y retourner et je terminerais ce que j'ai commencé, ce n'est pas à lui de décider mais à moi. Je retourne au bureau dépitais.

-Ezel c'est toi?

"Non le curé de la paroisse."

Comment les humains peuvent-ils être aussi stupides? Je massacre mon clavier avec un article totalement pourris. Quel article? Le chômage! Mon article repose sur le chômage. Je suis journaliste pas un imbécile finis à écrire ce genre de débilité et ce n'est pas mon domaine. Enzo veut me faire payer, c'est ça façon de fonctionner, quand une personne de la société passe à côté d'une affaire, il le "punis" avec des formalités plus qu'ennuyeux qui n'ont rien avoir avec notre spécialité. Je le sang qui boue tellement j'ai la haine, j'ai envie de tuer ce Enzo. De quel droit est-ce qu'il ce permet de faire ça? Je ne l'accepterais pas, qu'il le veuille ou non j'aurais ce qu'il demande et je lui prouverais que j'ai ma place dans ce milieu. Je m'acharne sur mon pc quand je reçois une notification sur mon portable.

-" Salut Ezel, il est midi passait et tu n'es toujours pas la... Tu viens? Si c'est à cause de la dernière fois je m'excuse d'avoir été odieux..."

Je souris face à son message, il est de bonne humeur, sa veut dire que son père est de retour. Il est tellement adorable quand il est comme ça et d'un côté j'ai de la peine pour lui. Après tout Enzo n'as pas besoin de savoir que je continue à aller le voir puisque je suis supposais ne plus y aller.

"-Salut Merce, un imprévu de dernière minute, je serais là dans pas longtemps. Prépare ton maillot de bain."

Je termine mon article et quitte le bureau sans oublier de jeter un regard mauvais envers Enzo, je n'ai toujours pas eu l'occasion de discuter avec Anastasia sur le fait qu'ils se connaissent, j'ai essayé une fois et elle m'a rembarrer. Je lui prouverais que je suis capable de réussir. Toute ma vie, on m'a fait me sentir comme un tas de merde, un bon à rien juste bon à recevoir des lames venimeuses. Cette-fois je veux être celui qui retourna cette lame empoisonnée. Je veux aussi aider Mercedes, je ne veux pas qu'il ait ce sentiment d'amertume comme moi, ce sentiment de douleur qui devient de jour en jour un poids insoutenable, il arrivera forcément un moment où il ne pourra plus le supporter et finira par faire une énorme erreur tout comme moi... Et je ne veux pas qu'il passe par cette étape, moi-même je ne le tolérerais pas. Je ne veux pas qu'il devienne ce que je suis. Je couperais la poire en deux entre Mercedes et mes recherches.

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J'arrive chez les Armando et je suis toujours aussi éblouie à chaque fois que je traverse les Landes. C'est tout simplement magnifique sans trop exagéré mais tout aussi beau. Je stresse un peu à l'idée de faire face au père, si la mère est de nature autoritaire et qu'elle dégage un aura de respect et d'assurance qui fait qu'on se sent faible à côté je n'imagine même pas comment doit être son mari. Je prend mon courage à demain comme un grand garçon et entre. J'entend tout de suite des rires qui proviennent du salon, je suis les voix et je suis vraiment étonnais quand je constate que ce rire est celui de Mercedes, c'est bien la première fois que je l'entend rire et non être désagréable à balancer des insultes. C'est assez... bizarre. Il est assis sur son fauteuil roulant en face de son père, comme il est de dos je ne peux pas voir à quoi il ressemble.