Secret Story (boyxboy)/Correction

Chapitre XVIII

Désolé chapitre ni revue, ni corrige.

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"La vie est plus facile avec les yeux fermés."

P.D.V. Ezel

La souffrance.

La souffrance peut être psychique ou physique. Mais dans les deux cas, elle désigne une douleur plus ou moins forte ressentie par un individu en réaction à un traumatisme.

Depuis mon adolescence, mon monde est noir, laid et déprimant mais j'ai toujours caché mon mal-être face aux autres. Je ne voulais pas que Anastasia ce sentait coupable, elle avait horriblement souffert de mon état et Maxime il faisait tout pour me protéger. J'ai toujours dit depuis ce jour, je ne laisserais plus personne m'atteindre au point de revivre ces événements, mais ce que je n'avais pas compris c'était que les souffrances et les douleurs sont différents.

J'y ai cru.

J'y ai sincèrement cru, quand Mercedes disais m'aimer, enfin non... Il me l'avait jamais dit, Maxime avait raison depuis le depuis, il me faisait passer un message par ces gestes et des musiques et je n'ai rien vu. Je viens de coucher avec lui croyant vraiment que nos débuts de sentiments étaient réciproque mais c'était sans compter de l'annonce de ses fiançailles. Il c'est bien foutu de ma gueule lui aussi... Il est comme lui. Il n'est pas si différent en fin de compte. Ce que je peut être con.

-JE SUIS RENTRAIS!!

-Ezel tu rentres tôt...

Mattias.

Peut-être que c'est lui que j'aurais dû choisir depuis le tout début.

-Je n'avais rien de spéciale à faire.

-Ah... Bon je sors voir des potes, maman et Maxime ne sont pas encore rentaient.

Je le regarde et c'est copier-coller la tête de son frère donc forcément lui aussi il est beau.

Ma poitrine cogne violemment, le choc n'est toujours pas passait, c'est comme-ci, le mur que je m'étais forgé c'est brisait une seconde fois, le mur ce fissure pour être complément démoli par une personne à qui j'ai donné ma confiance. Le mur tombe et mon coeur est piétinais en mille miette.

-Ezel... Qu'est-ce qui t'arrive? On dirait que...

Je le regarde et c'est à peine si je me rend compte de sa présence. J'ai tellement mal. C'est violent, douloureux, injuste. Oui injuste que je ressente ça, alors que toute ma vie j'ai souffert et toute ma vie je me suis battu pour être fort.

-Ezel.... Parle, dis quelque chose... Tu me fait flipper la...

Il s'approche de moi et il profite pour passer ses mains autour de mon visage. Je le regarde de ses yeux verts et je vois de l'inquiétude. Je dois pas avoir une tête potable.

-Hey tu m'entend?

Je suis tellement peiné, que mon cerveau est en mode off. Alors je fais ce que j'ai toujours fait pour me soulager. D'un coup brute, je passe mes mains derrière sa nuque et l'embrasse à pleine bouche, je serre son petit corps de mes bras et le colle plus à moi pour approfondir le baiser. Il n'a eu aucun mouvement, je crois qu'il est tétanisé par ce que je viens de lui faire. Je me détache de lui et comme je m'y attendais, je peux lire toute la stupéfaction sur son visage, en même temps je le comprend, depuis le temps qu'il attend un geste de ma part. Il est bloquait sur place, ne réalisant pas ce que je viens de lui faire et moi non plus je ne comprend pourquoi je l'ai embrassé. Qu'il s'imagine des choses entre nous, qu'il se fasse des grands films qui ne se réaliseront jamais. Pourquoi j'ai fait ça?