12

6.7K 591 151
                                    




Aloha chicas, ça va ?🎈







«J'ai laissé mon coeur ouvert, pensant que tu n'allais rien voler.»






E           Z           M           Î           A

Nowez – Tu sais quoi ? Ils vont pas tarder à arriver tes russes

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou télécharger une autre image.










Nowez – Tu sais quoi ? Ils vont pas tarder à arriver tes russes. Et le pire ? C'est que mes cousins ne seront pas revenus à temps. Dommage, hein.

Moi – Mais pourquoi t'es vicieux comme ça ? J't'ai fais quoi pour en arriver là ? T'es vraiment pas net dans ta tête... Tu vas me laisser mourir et sans raison !

Nowez – Tu t'es trop initiée dans ma vie, tu causes des problèmes à mes cousins ! J'en reviens pas putain... *en plaquant ses mains sur son visage* Ils veulent sauver la peau d'une prostitué qu'ils connaissent de nul part. Et tu sais quoi ? J'préfère avoir ta mort sur la conscience que celle de Yazeen ou Sinan.

J'étais bouche bée, je ne savais pas quoi lui répondre sur le coup... Puis, vint le moment où après ce long silence on entendit des freins grincer contre le bitume...

Ok, Mîa c'est ton heure. Je serrais Soyla tellement fort contre moi... Sur le coup, je n'avais même pas chercher à fuir, la seule issue possible était déjà prise par ces sales russes.

Nowez se leva subitement de son lit pour m'arracher Soyla des bras. Je me mise à lui hurler en sanglot de me rendre mon bébé, qui s'était elle aussi mise à pleurer.

Nowez – CALME TOI PUTAIN ! Elle va y passer si tu continues d'être hystérique !

Il me poussa brutalement d'un bras jusqu'à la salle de bain avant de m'y enfermer rapidement. Puis plus un bruit...

Il était parti de la chambre avec mon bébé ! MA CHAIR, MON SANG ! Et à vrai dire, mon seul repère. C'est pour ainsi dire ma seule famille, hormis ma mère qui prend de mes nouvelles quelques fois par téléphone.

Je tapais de toute mes forces contre cette porte, mon cerveau avait vrillé, je voyais rouge et ne contrôlait plus mes gestes, j'étais devenue follement sauvage.

Puis, j'entendis la porte claquer. Soit il était de retour, sois c'était mon heure.

Une clef s'introduit dans la serrure, et je me mise à rester inerte, sans voix, attendant l'ouverture de la porte toute tremblotante de haine.

C'était Nowez. Sans ma fille.

Moi – ELLE EST OÙ ?! SALE GROS CHIEN, REND LA MOI!

𝑬𝒛𝒎𝒊𝒂 - 𝒔𝒐𝒎𝒃𝒓𝒆 𝒊𝒏𝒏𝒐𝒄𝒆𝒏𝒄𝒆.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant