Entrez dans la vie d'une fille de joie.
«Dans mon vaisseau, j'me sens si seule,
devant mes péchés, j'me vois si sale,
derrière, mon ange dit : t'es si sombre »
«Si t'es pas de mon sang pas sûr que je pourrais t'aimer jusqu'à ma mort.»
E Z M Î A
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Il était dix heures lorsque je me suis levée avec Soyla. Comme d'habitude, en descendant je n'entendis aucun bruit. L'ambiance restait tendue. Soyla est directement partie sur les genoux de Yazeen, ils brisèrent donc le silence en discutant naturellement. Puis, je poursuivis à la suite.
Moi – Salut !
Je n'avais reçu aucune réponse, alors je ne protesta pas. Je m'installa entre Enes et Yazeen pour déjeuner.
Sihya – Comme tout le monde est là, j'en profite pour vous annoncer mon départ... Je ne peux pas rester dans une maison pleine de mauvaises ondes, et de personnes mal éduquées qui salissent notre nom.
Nowez – Bon débarras.
Sihya – Oui, sens toi visé.
Hakina – Eh, j'ai assez fermé ma gueule, tu vas lui parler autrement sale dégénérée !
Sihya s'est levée et en a profité pour jeter son verre de jus sur le visage d'Hakina. Hakina est restée de marbre, elle a seulement jeté un coup d'œil du côté de Nowez qui la regardait.
Nowez – Casse-toi plus vite que prévu, sale pute.
Sinan – Oh, calmez-vous ! Sihya dépêche toi, monte prendre ta valise et Nowez calme ta bouche.
Sihya s'exécuta pour une fois en fermant sa grande bouche. Elle redescendit avec sa valise et ses lunettes de soleil sur le nez.
Sihya – À jamais bande de cas soc'.
Elle avait prit la parole en claquant la porte derrière elle. Je retrouvais enfin le sourire ! Sinan s'est levé pour rejoindre Sihya, il allait sans doute la ramener chez elle.
H A K I N A
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