ton regard bleu fourbe
qui hante mes journées
avec ces courbes
hallucinées dégagées
comme tes os
qui percent ta peau
coup d'foudre
dans les étoiles
ils te voulaient absoudre
allez hisse les voiles
on s'en va vers
le bleu d'la mer
qui me rappelait
tes yeux embrumés
à cause de l'écume
des vagues, de la pluie
sur tes joues de lune
creusées par l'envie
perdue de manger
de vivre, de te lever
et on se demandait
pourquoi tes yeux
ne riaient jamais
et tu ne souriais
plus pour de vrai.
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LES ÉTOILES ONT PLEURÉ
Poetryles immeubles étaient tellement hauts, à moins que ce ne soit le ciel qui soit si bas, ce soir d'été, où les étoiles ont pleuré. • • • • • (textes ; les derniers sont meilleurs - mais il faut bien commencer quelque part) • • • • • // poss...
