tout fout l'camp mais t'es toujours là
t'as raison
regarde le désastre comme si c'était le dernier film de spielberg
regarde les éclats d'obus un peu partout
ils disent que mes neurones vont finir par cramer
c'est bien, ça sera le dernier truc à brûler
vu que pour mon âme et mon cœur c'est déjà fait
tout est détruit mais t'es toujours debout
t'as ton petit sourire que j'ai envie de te faire ravaler
quand tu comprends que j'arriverai plus à me reconnaître dans un miroir
plus jamais
même si je le voulais
tout a disparu mais t'es la seule que je voie
bien que floue et pas toujours dans mon champ de vision
j'sais que t'es là, cachée avec les monstres sous mon lit
à moins qu'ils vivent dans ce qui reste de ma tête
t'es dans mon passé, dans mon présent et si j'en ai un, dans mon futur
du moins dans un truc qui y ressemble
tout est dépeuplé plus rien n'est évoqué
hormis ton nom
dépression
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LES ÉTOILES ONT PLEURÉ
Poetryles immeubles étaient tellement hauts, à moins que ce ne soit le ciel qui soit si bas, ce soir d'été, où les étoiles ont pleuré. • • • • • (textes ; les derniers sont meilleurs - mais il faut bien commencer quelque part) • • • • • // poss...
