Éteint par tant de traitements
Un lambeaux de souvenirs
Qui flottent parmi le conscient
Aux cieux de mes souriresSans toi tout devient cendres
Les sphères du mentale meurt
Terni dans les méandres
Dévorant l'intégralité de mon cœurCette organe palpitant
Des mort au milieu des lettres
Tu vois je ne suis pas sûr de l'avant
Écrasant les côtes de mon êtreLa progression tel qu'ont la nomme
Ne c'est pas faite toute seule
Il n'y as qu'à voir comme
Les gens vénère l'orgueilAinsi est faite l'humanité
Comme ont le dit, ainsi va la vie
Nous courons tous d'un air aveuglé
Vers la fin qui nous lieQue d'âmes aperçoivent les Limbes
Je vous en supplie, prenez moi
Je ne supporte plus leurs disquettes
Je vous en supplie, prenez moi
J'en est perdue la têtePuisque je suis étouffant étrangle moi
La haine ne veut rien dire
Quelle prétention avions nous
"Nous" ne veut rien direJe ? Tu ? Nous avions tort ?
Dans la rue rougie comme nos veines
Une autre âme hurle à la mort
Toute la détresse humainePendant que j'écris ces quelques vers
Tu me crie que la vie n'est pas belle
Bientôt sortant de la terre
Nos crâne fracasser d'une pelleEntre deux subconscient
Je leur cracherais ces quelques mots
Qui ne tiendront pas longtemps
Tel des ricochets effleurant l'eauLe bonheur est infidèle
À l'espoir nous nous essayons
Nos esprits de tristes fidèles
Devant la vie nous fuyonsQue d'âmes aperçoivent les Limbes
Je vous en supplie, prenez moi
Je ne supporte plus leurs disquettes
Je vous en supplie, prenez moi
J'en est perdue la têteComme un naufragés
Je sais c'est pathétique
Avec ma vie échoué
Je dirais même que je suis éclectiqueLa mort me va si bien
Je vie a travers une prosopopée
Si seulement c'était humain
Toi qui n'a jamais voulue m'aiderJe t'ordonne maintenant
De finir ce laborieux travail
Plus jamais tu ne ment
Bourre mon ventre de paillesN'aie jamais de remords
Tu sais, moi, toi, nous
De vouloir la mort
Jamais à tortJ'ai cru voir en toi
Ce que toi avais cru voir en moi
Du bois au sous bois
Du groupe au cas par casOn s'arrache la peau de démence
C'est un jeux dangereux
Mon corps sent le rance
J'ai toujours était peureuxJe t'en prie écrase moi
Détruit la moindre parcelle
Quand je serais encore ici bas
Envoie-moi au septième ciel
YOU ARE READING
Journal D'une Suicidaire
Non-FictionDes textes sur le thème de la dépression du suicide et des autres démons comme Cat (mutilations), Ana (anorexie) etc...