Poème malheur

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Éteint par tant de traitements
Un lambeaux de souvenirs
Qui flottent parmi le conscient
Aux cieux de mes sourires

Sans toi tout devient cendres
Les sphères du mentale meurt
Terni dans les méandres
Dévorant l'intégralité de mon cœur

Cette organe palpitant
Des mort au milieu des lettres
Tu vois je ne suis pas sûr de l'avant
Écrasant les côtes de mon être

La progression tel qu'ont la nomme
Ne c'est pas faite toute seule
Il n'y as qu'à voir comme
Les gens vénère l'orgueil

Ainsi est faite l'humanité
Comme ont le dit, ainsi va la vie
Nous courons tous d'un air aveuglé
Vers la fin qui nous lie

Que d'âmes aperçoivent les Limbes
Je vous en supplie, prenez moi
Je ne supporte plus leurs disquettes
Je vous en supplie, prenez moi
J'en est perdue la tête

Puisque je suis étouffant étrangle moi
La haine ne veut rien dire
Quelle prétention avions nous
"Nous" ne veut rien dire

Je ? Tu ? Nous avions tort ?
Dans la rue rougie comme nos veines
Une autre âme hurle à la mort
Toute la détresse humaine

Pendant que j'écris ces quelques vers
Tu me crie que la vie n'est pas belle
Bientôt sortant de la terre
Nos crâne fracasser d'une pelle

Entre deux subconscient
Je leur cracherais ces quelques mots
Qui ne tiendront pas longtemps
Tel des ricochets effleurant l'eau

Le bonheur est infidèle
À l'espoir nous nous essayons
Nos esprits de tristes fidèles
Devant la vie nous fuyons

Que d'âmes aperçoivent les Limbes
Je vous en supplie, prenez moi
Je ne supporte plus leurs disquettes
Je vous en supplie, prenez moi
J'en est perdue la tête

Comme un naufragés
Je sais c'est pathétique
Avec ma vie échoué
Je dirais même que je suis éclectique

La mort me va si bien
Je vie a travers une prosopopée
Si seulement c'était humain
Toi qui n'a jamais voulue m'aider

Je t'ordonne maintenant
De finir ce laborieux travail
Plus jamais tu ne ment
Bourre mon ventre de pailles

N'aie jamais de remords
Tu sais, moi, toi, nous
De vouloir la mort
Jamais à tort

J'ai cru voir en toi
Ce que toi avais cru voir en moi
Du bois au sous bois
Du groupe au cas par cas

On s'arrache la peau de démence
C'est un jeux dangereux
Mon corps sent le rance
J'ai toujours était peureux

Je t'en prie écrase moi
Détruit la moindre parcelle
Quand je serais encore ici bas
Envoie-moi au septième ciel

Journal D'une Suicidaire Where stories live. Discover now