Histoire douloureuse d'un séjour en hôpital psychiatrique

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Novembre 2017

Derrière cette photo,se cache surement l'un des pires moments de ma vie,

J'avais 17 ans, et l'on m'a enfermé de force en hopital psychiatrique adulte,
Ce n'était pas ma première hospitalisation, je savais que c'était difficile, mais je n'imaginais pas à quelle point.

Les infirmiers m'on d'abord manipulés pour m'enfermer dans la chambre

Plus tard ils sont venus ,et m'ont forcé à me déshabiller, un infirmier était sur moi, et me plaquait la poitrine avec force contre le lit, d'autres me tenaient les pieds, les mains
Je me suis débattu à peine 2 min,  et je l'ai est supplié de me laisser me desahabiller, la  violence de leur actes était tellement insoutenable, et des images me revenait tellement précisément que je préfèrais faire ca moi meme.

Ils ne m'ont  pas écouté , j'ai alors, complètement arrêté de bouger,
C'était comme si mon corps était mort,
Ils se sont arrêté et l'on m'a emmenée dans une pièce.

Javais mal au poignet tellement l'infirmier avait appuyé fort,

Dans la pièce il y avait seulement 2 infirmières, je savais que les autres étaient derrière la porte, j'ai enlever mes vêtements, toute tremblante, la tete remplis d'anciens souvenirs

J'ai tout enlevé , on m'a regardé partout, sous les Bras, dans les cheveux, entre les cuisses, sous les pieds.. et jai enfilé une blouse.

Javais l'impression d'être en prison.
C'était d'ailleurs un peu le cas, j'etait enfermée toute la journée.

Mais qu'elle était mon crime?

Les jours ont passés, Jai eu des difficultés avec les repas car je suis vegan, et jai des troubles alimentaires,
Ils ont donc décidé de me bloquer les toilettes,en les fermant, je devais insisté à chaque fois pour allée au toilette, et quand j'y allais un infirmier restait devant le porte qui était obligatoirement ouverte,
Un jour ils ont refusé de m'ouvrir les toilettes, pendant deux heures au moin j'ai pleurer pour qu'on m'ouvre, je leur est dit que je ne tenais plus, je suis allez leurs demander au moin 50 fois, toujours en pleurant, mais ils en avaient rien à foutre, ils restaient tous assis à boire leur café, ne pouvant plus me retenir, j'ai du uriner par terre, comme un ptn de chien

Encore apres, le psychiatre s'est excusé, en me disant  qu'on aurait dû me donner une bassine. Au moin.

Journal D'une Suicidaire Where stories live. Discover now