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Il existera toujours un médicament qui soignera ta douleur.
Pour toi la patience sera le médicament de cette douleur.
Sache que peu importe la durée de la nuit, le jour viendra.
« Ces yeux noir, noir d'un ton très foncé et très obscure qui ne te laisse percevoir que ce que souhaite partager leur porteur.
Seulement ces yeux aussi réservés et pudique ont réussit à éveiller ma curiosité face au désir de les découvrir et lire en eux.
Peut-être que je regrette de m'être aventuré dans cette mer dans laquelle plongent ces yeux aussi perçants qu'une lame aiguisée. Mais aussi doux que la caresse d'une plume.
J'aime lire en tes yeux car je sais que c'est de la d'où provient la source vitale de mon cœur. Mais je sais pour autant que mes yeux sont un livre ouvert face à toi.
Tu comprends chaque regards, tu perçoit chaque émotions et sentiments qui se reflètent alors dans ceux-là.
Et pourtant...
Et pourtant tu ne cessa de me faire du mal, mes yeux te criaient d'arrêter mais tu les ignorais.
Et maintenant ce sera à mon tour d'ignorer les tiens. »
~
Younès: Salam...
J'avais l'impression d'imaginer, je croyais pas qu'il était là.
Je me suis levée toute déboussolée et choquée. Je le regardai les yeux grand ouvert.
Moi: Qu'est-ce...qu'est ce tu fais la?
Younès: J'ai envie de te parler
Moi: Tu réponds pas à ma question! Tu fou quoi la!
Younès: Ça fait longtemps j'essaye de te parler mais tu fais que me fuir j'étais obligé de demander à Talya de m'aider.
J'étais déçu de Talya, parce qu'elle savait très bien que j'étais pas prête à l'écouter et lui faire face.
