« Nos poèmes sont des lettres »,
Au beau milieu de nos vies muettes
Et tout ce qui y fait sens s'y retrouve.
À la frontière de nos vers,
On discute d'indiscernable,
Au point que je crois t'avoir rencontrée à la fenêtre,
Un soir immense où l'évidence a dansé avec le hasard,
Au beau milieu des étoiles et des cieux hagards.
La tête qui tourne, des lucioles pour étincelles,
Un peu de poésie qui crépite dans le silence,
Et puis l'indicible qui nous hante.
Elles sont ivres, du vin des songes,
Les lumières qui fascinent.
Quelques esquisses, l'essentiel qui s'esquive
Mais ne s'estompe pas
D'une silhouette singulière,
Tu es devenu métaphore,
Ton nom, dans mes vers
Tout un monde
Céleste.
Tu fais partie du rêve.
Bien plus que tout le reste.
Nos absences se parlent,
Nos présences se rassurent,
Et le murmure gracile de ta voix
Te ressemble,
Au point que le frêle de nos existences
M'apaise.
Tu es,
"Il fait beau",
Une raison de vivre.
VOUS LISEZ
Poésie fugitive
PoetryQuelques mots qui s'étirent sur le papier blanc pour saisir l'éphémère beauté de la poésie qui arpente ce monde à la nuit tombée. Recueil en vers libres. J'écris les étincelles de poésie que mon coeur aperçoit, les sentiments qui me noient ou m'il...
