Chapitre 15...*

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* PDV de Iris * 
Nous avons été tranquille toute la journée ou du moins moi je l'ai été Mag elle n'a pas arrêter de regardé par la fenêtre pour être sûr qu'ils ne reviennent pas de sitôt car elle n'a pas non plus apprécié le comportement de mon "merveilleux époux".

Pourtant le soir même il était de retour exigeant de voir le fameux papier dont Mag lui avait parlé le matin même, elle s'est empressé de lui donner puis en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire il était devant moi qui était assise au salon avec un bon bouquin entre les mains.

- Va chercher tes affaires tu rentres à la maison.
- Non.
- Comment ça non ?!
- Je reste ici et ce n'est pas négociable monsieur l'emmerdeur.
- Tu rentres avec moi est ce que je suis clair sur ce point Iris ?!
- Tu ne peux pas me forcer à te suivre alors non je reste ici.

Ce que je lui dis n'a pas vraiment l'air de lui plaire mais je m'en fou un peu, il ne va pas non plus me forcer à rentrer avec lui, alors que je n'en ai aucune envie. Le despote n'aura pas gain de cause...

- Et puis ce n'est pas comme si ça change beaucoup pour toi de tout façon je ne te voie que quinze minutes le dimanche midi et trente minutes le dimanche soir. Alors soit je serai le dimanche à résidence comme ça tu auras le plaisir de me voir mais sinon au revoir.

Et encore quarante-cinq minutes je pense être gentille avec lui, je suis quand même une bonne âme charitable il faut se le dire.

- Il va falloir que l'on mette plusieurs choses à plat et je n'ai pas que ça à faire de venir jusqu'ici tous les jours.
- On en parlera dimanche prochain alors on aura environ quarante-cinq minutes ça te vas comme timing ??
- Maintenant ça suffit !! Alfredo allez chercher les affaires de madame à l'étage et toi tu viens avec moi.

Il ne me laisse pas le temps de dire autre chose qu'il m'a déjà pris par le bras pour m'entraîner dans la voiture. Il me fait monter dedans et je n'ai même plus la volonté de résister et surtout je ne veux pas qu'il me fasse du mal à moi ou à mon bébé.

J'entends rapidement le coffre claquer avant qu'ils ne rentrent dans la voiture l'un après l'autre. Je reste le nez collé à la vitre à regarder le paysage même si je ne vois pas grand-chose vu qu'il fait nuit dehors, dire que je vais devoir y retourner.

Une fois à la villa je ne l'attends pas et descends en claquant la portière pour monter le plus rapidement dans la chambre ou j'étais encore hier, ma fuite n'a pas été la plus longue de l'histoire c'est sûr. Je croise sa sœur dans l'entrée qui essaye de me retenir mais je ne l'écoute pas et évite même de l'envoyer bouler pour monter directement en essayant de ne pas faire couler mes larmes tout de suite.

Une fois dans ma chambre je claque de nouveau la porte le plus fort possible avant de m'effondrer sur mon lit en pleurs, me voilà de retour en prison...

* PDV de Alessandro *
Qu'elle petite effronté je l'ai chercher pendant une heure dimanche avant de me rendre compte qu'elle avait fui par je ne sais quel moyen mais surtout sans qu'aucun de mes gardes n'arrive à voir par ou elle s'est échappé. Après plusieurs heures et après avoir trouvé qu'elle était retourné là où je l'ai trouvé la première fois j'ai cru devenir fou, jamais elle n'aurait fait ça avant et je ne sais pas ce qu'il lui prend mais il va falloir qu'elle se calme rapidement.

J'ai réussi aujourd'hui à la faire revenir à la villa en utilisant la force et je n'aime pas faire ça sur elle, elle ne mérite pas que je sois aussi ferme avec elle mais je n'arrive pas à comprendre pourquoi elle s'enfonce autant dans son mensonge alors que je connais la vérité.

J'allais lui parler mais à peine j'eus tourné la tête qu'elle était déjà sortie de la voiture en claquant la porte. Je sors à mon tour pour aller la rejoindre sachant très bien qu'elle va être stoppé par ma sœur qui nous attend de pied ferme, elle aussi s'est faut un sang d'encre pour elle.

Un oubli imprévuOù les histoires vivent. Découvrez maintenant