❈ 0.12: 𝐂𝐡𝐞𝐳 𝐃𝐨𝐜𝐭𝐞𝐮𝐫 𝐌𝐚𝐫𝐭𝐢𝐧𝐬

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𝐏𝐨𝐢𝐧𝐭 𝐝𝐞 𝐯𝐮𝐞 𝐊𝐄𝐍𝐃𝐑𝐀-𝐀𝐘𝐋𝐄𝐄𝐍 𝐉𝐄𝐅𝐅𝐄𝐑𝐒𝐎𝐍









Mes yeux eurent du mal à s'ouvrir. Seules des grandes pleurnicheuses comme moi, peuvent connaître la sensation d'ouvrir les yeux, après s'être endormie en pleurant. Les larmes qui ont séchées sous mes yeux, et sur mes joues car comme d'habitude, je me suis réveillée aux alentours de trois heures du matin, et je n'ai plus réussie à dormir alors j'ai pleuré car cette situation m'agace de jour en jour. J'ai besoin de me défouler, et d'extérioriser, tous ce que je contiens dans ce petit corps qui en a subie des choses.



Observant mon plafond, je me creuse la tête à la recherche d'une activité à faire en ce dimanche ensoleillée car je dois aller de l'avant. Kyana ne va pas me gâcher la vie longtemps puis elle m'a libérée d'un soucie parmi tant d'autres. Et mes pensées furent coupées, lorsqu'on émet deux coups contre ma porte. Je n'ai même pas le temps de donner la permission d'entrer dans la pièce, que la porte s'ouvre en grand. Je fronce les sourcils, m'attendant à voir tous sauf Angela.







- Qu'est ce que vous me voulez ? Demandais-je méchamment.





- Qu'est ce que je veux ? Que tu te lèves jeune fille, il est onze heures cinq, et c'est inacceptable que tu sois encore au lit !





D'une démarche de top model, elle traverse toute la chambre pour arriver au niveau des baies vitrées qui entourent la pièce, et vient étirer les rideaux, faisant entrer la lumière du dans toute la chambre. Je grogne et regarde avec colère, Angela qui ose s'aventurer dans la pièce comme si nous entretenons pas une relation des plus tendues.






- C'est une blague c'est ça ? Demandais-je. Pourquoi vous vous intéressez à moi tout d'un coup ? Ce n'est pas vous qui disiez à Ashley que je dois retourner dans mon trou à rat, avant de vous attirer des problèmes ?






- C'était vrai, avant que les Smith me mettent en rogne.






Elle entre dans mon dressing fabriquant je ne sais quoi dedans. Enervée, je me redresse et la rejoint dans mon dressing la trouvant en train de me choisir des vêtements.







- Je peux savoir ce que vous faites et ce que vous me voulez à la fin ? Si je veux flâner dans le lit toute la journée, je le ferrais.





- Non, tu ne le ferras pas, car tu as la chance d'avoir une belle mère aussi attentionnée que moi. Elle tapote mon épaule en partant derrière moi vers mes cintres à vestes.







Je ris. De nervosité. Je ne sais pas à quoi elle joue, et je me tire même la joue pour savoir si je ne rêve pas, car ce qui se passe face à moi, me semble irrationnel.






- Vous m'avez clairement traitée de fille qui fait tache, que j'allais être un gros problème dans vos vies, et que je dois retourner à New York et là, du jour au lendemain, vous êtes bienveillante avec moi ? Qu'est ce que vous préparez contre moi ?






- Ta tenue jeune fille, je te prépare simplement ta tenue. Mon dieu, elle pousse un cri d'horreur dans le dressing entier, c'est quoi cette horreur ?








𝐑𝐈𝐂𝐇 𝐓𝐄𝐄𝐍𝐒 ; 𝘚𝘢𝘯 𝘧𝘳𝘢𝘯𝘤𝘪𝘴𝘤𝘰 𝘦𝘥𝘪𝘵𝘪𝘰𝘯 Where stories live. Discover now