Oops! This image does not follow our content guidelines. To continue publishing, please remove it or upload a different image.
𝐏𝐨𝐢𝐧𝐭𝐝𝐞𝐯𝐮𝐞𝐊𝐞𝐧𝐝𝐫𝐚-𝐀𝐲𝐥𝐞𝐞𝐧𝐉𝐞𝐟𝐟𝐞𝐫𝐬𝐨𝐧.
Un touché.
Mon premier réflexe est de toucher à mon tour, de savoir si je peux reconnaître cette personne. Et en touchant un bras musclé, de la peau douce et surtout en me rappelant là où je me trouve, mon rythme cardiaque qui c'était affolé se calme d'un cran, mon angoisse également alors que mon bras se détend et mon corps de même
Je passe ma main dans mes cheveux en bataille pour les passer derrière ma tête histoire de pouvoir voir, l'homme à mes côtés. J'ouvre petits à petits les yeux faisant face au brun, qui lui esquisse un léger sourire lorsque nos regards se croisent, alors que mon bas du ventre en fait des siennes. Il apprécie toujours autant cette première image qu'il a, celui d'observer le colombien au réveil.
Ses yeux sont encore plissés, ses cheveux en totale bataille, nombreuses ont été les fois où mes doigts les ont entremêlés, et ce simple souvenir me fait rougir de la tête aux pieds.
- Holà.
La chair de poule vient même apparaître le long de mes bras, et un rire sort de ma bouche car j'aime toujours sa voix au réveil. Il sourit simplement devinant quelle est la cause de mon rire, de si bon matin.
- Holà.
Il sourit, je me frotte les yeux et lui demande l'heure. Il m'affiche l'heure depuis son portable, neuf heures deux. C'est bien trop tôt.
- Il est super tôt, pourquoi je me suis réveillée ?
Je pousse un son de râle, mes cheveux entremêlés que je passe derrière ma tête une nouvelle fois alors que je me redresse, les membres complètement endolories et mes adducteurs qui crient le martyr. Ma dernière fois remonte à novembre, nous sommes en avril bien sûre que mon mal être était compréhensible, mais aussi s'ajoute les aptitudes d'Elijah. Je comprends à présent pourquoi il est arrogant à chaque énonciation de ce domaine, car il sait ce qu'il vaut, et bien heureusement qu'il le fasse aussi bien car j'aurais été déçue si ça avait été le contraire alors qu'il se vante corps et âme. Je grimace en tentant d'arranger mes cheveux mais impossible, il y'a bien trop de noeuds que le brun a provoqué, nous nous sommes bien marqués tous les deux au cours de cette folle soirée. Le prouvent, les traces rougeâtres dans son cou, sa couleur de peau qui rend ces derniers bien voyants, quant à moi, ils sont moins visibles.
