❈ 0.42 : 𝗯𝗮𝗰𝗸 𝘁𝗼 𝗰𝗮𝗹𝗶

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- Non sérieusement, qu'est ce qu'elle pouvait bien chercher dans ma chambre ? Je la range au millimètre carré et lorsque je vois quelque chose de déplacé, je le remarque. Ça m'énerve, je n'arrive pas à savoir ce qu'elle cherchait. Ça m'énerve !




Je continue à tourner en rond, face au brun qui me regarde d'une mine désespérée, lui qui attend depuis une vingtaine de minutes son fameux massage.


- Ça se peut que tu es juste paranoïaque et qu'elle a rangé ta chambre c'est tout. Viens faire mon massage s'il te plaît.


- Ma mère n'a jamais rangée ma chambre petite si ce n'est, pour prendre l'argent que je gagnais en travaillant. J'ouvre la bouche en fronçant les sourcils. J'aurais laissé de l'argent là bas ? Impossible. Non mais imagine quand même Eli ?




J'attache mes cheveux dans un messy bun alors qu'il souffle, les yeux qui se ferment de temps en temps, son match NBA qui fait office de bruit de fond. Je souris et respecte mon gage d'il y'a quelques heures. Je vais dans la salle de bain et prend depuis le tiroir à produit, une huile corporel qui ferra l'affaire. J'éteins la lumière après ma sortie et m'approche du brun qui en me voyant arriver avec l'huile entre les mains, soupire de soulagement et se retourne pour se mettre sur le ventre.



- Dernière fois que je fais ça.


Je passe ma jambe au dessus de son fessier et me pose dessus, alors qu'il ricane en secouant négativement de la tête.



- Crois moi, ça ne sera pas la dernière fois que tu le ferras. Longtemps hein.


- Y'a pas écrit sur mon front, ta bonne de service cabròn.


- Je l'écrirais alors.



Je pince son dos et souris en voyant la partie pincée rougir. Je ricane en touchant certaine partie de son dos déjà rougie.



- Qu'est ce qui te fais rire ?

- Y'a une sauvageonne qui t'as griffé le dos on dirait. Qu'as tu fait pour avoir ces traces misterioso hombre ?


- No sé.
(Je ne sais pas).


Je souris amusée et ouvre la bouteille d'huile et étale du liquide sur une bonne partie de son dos, alors qu'il a la tête enfouie entre ses bras qui enlace son oreiller. Je finis d'étaler l'huile sur son dos musclé et me met à le masser, alors que l'air paisible qui gagne le colombien me fait comprendre qu'il aime ce que je fais.



- Où vous partez durant l'été ? Je demande doucement.


- Tu veux dire, où on partira ?


- Je ne partirais nulle part avec toi, je t'aurais déjà quitté d'ici là.


- Vilaine sorcière. Je ris légèrement. Mais sérieusement, demande moi plutôt où on partira.


- À Bora Bora ? Demandais-je avec sarcasme.



- Bonne réponse.


Je ricane en levant les yeux aux ciels.



- À cause de vous, j'arrive à être de moins en moins choqué en donnant le noms de destinations paradisiaques.



- Tu te fais au milieu, c'est normal. Mais si tu crois que je rigole lorsque je te dis qu'on ira à Bora Bora cet été, c'est que tu ne me connais pas bébé.



𝐑𝐈𝐂𝐇 𝐓𝐄𝐄𝐍𝐒 ; 𝘚𝘢𝘯 𝘧𝘳𝘢𝘯𝘤𝘪𝘴𝘤𝘰 𝘦𝘥𝘪𝘵𝘪𝘰𝘯 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant