XVII: La cité elfique

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Cela va faire plus d'un jour que nous voyageons. Nous n'avons eu aucun problème sur notre chemin, et nous arrivons enfin dans la forêt. Elle n'est pas très dense et les arbre n'ont rien de particuliers, mais elle dégage une grande source de magie. C'est assez impressionnant. On la traverse, passant à toute chevauché. Petit à petit les troncs deviennent plus épais et plus foncés, l'herbe devient plus dense. Le ciel passe à son crépuscule, peignant l'étendue bleue de nuance passant du violet, rouge jusqu'au orange. Les arbre prennent la couleur des flammes et les troncs se fondent dans l'étendue. On peut entendre de petits oiseaux siffler ensemble, formant une harmonie parfaite. Nos pas sont légers, mais ils raisonnent dans l'air.

On s'arrête enfin. Ce qui me fait fasse est toujours cette forêt, mais alors que je pensais que nous faisions juste une pose, Ethan fait quelques pas avant de disparaître derrière une sorte de miroir que l'on peut traverser. Je n'en crois pas mes yeux ! Je le suis, Stephan et Christelle derrière moi, et traverse ce mur invisible. Ça donne une impression de traverser une mur d'eau, mais aussi doux qu'une fourrure de nounours. Et là, j'ai vraiment l'impression de rêver ! La forêt et toujours là, mais les chênes font au moins une bonne dizaines de mètres. Le ciel est toujours de la même couleur, mais il est couvert par le feuillage dense des chênes. Leurs racines sont gigantesques et recouvre le sol recouvert de fleurs blanches comme neige.

Et juste devant nous, une porte à peine plus petite que les arbres se fonds derrière eux. Elle est creusé dans de la pierre, et elle est recouverte de détailles, faisant croire qu'elle est recouverte de lierre. Avec deux battants, elle est massive et doit être tellement lourde que personne ne pourrais l'ouvrir. La pierre est vraiment très clair, tellement qu'elle prend légèrement les teintes du soleil. De petits cristaux intégrés font des reflets sur les fleurs, qui illuminent la forêt. Des lucioles nous entourent, je pourrais presque croire qu'elles dansent.

Je reste à fixé cette porte avant de tourner mon regard vers les autre, qui ont déjà repris leur formes humaine. Je fait de même et les rejoins. Ils se consultent pour savoir comment rentrer, car on ne peux pas ouvrir la porte comme ça, elle est trop massive. Il faut trouver une autre solution. Mais aucun n'ai jamais allé chez les elfes, ou n'a parlé avec. De ce que j'ai appris, les elfes ne se mélangent pas avec les humains, donc c'est très rare dans rencontrer un. Seul les rois des différentes races on vu les elfes, et jamais chez eux, toujours dans le monde des humains.

Je les laisse discuter, après tout je ne sais pas grand-chose, et même encore moins qu'eux. Je me rapproche de la porte. Je me sens vraiment minuscule à côté, c'est magnifique ! De près les gravures sont superbes, les détails sont tous fais, on pourrait presque croire que se sont des vrai feuilles. Je passe mes doigts sur une des feuilles en pierre, mais je remarque une chose étrange. Ces gravure n'ont pas la texture de la pierre, bien au contraire, elles ont la texture de vrai feuilles. Ce n'est pas normal. Je suis le lierre des doigts, et c'est vraiment une plante. Je passe mon regard sur toute les lianes qui parcourent la porte. Elles ne sont pas agencées au hasard, bien au contraire, elles se croisent de façon à condamner la porte.

- Ethan ?!

- Qu'y a t-il Nathan ?

- Les elfes, peuvent ils contrôler les plantes ?

- Oui, certain d'entre eux le peuvent, mais pourquoi ?

- Les gravures de cette porte sont en fait du vrai lierre, c'est cela qui ferme cette porte. Si on arrive à les retirer on pourra sûrement l'ouvrir !

Ethan se rapproche et touche le lierre. Les deux tigres font de même et Christelle me félicite. Ethan réfléchit et les deux autres aussi.

Christelle : Maintenant, comment on les enlève ?

Lien D'âme-soeur - Tome I - Une Rencontre InattendueWhere stories live. Discover now