REBELLE

REBELLE TOME II: PARTIE. 44

Chose promise chose due le voilà ton cadeau Aw Seydou Nourou. Joignez vous à moi pour souhaiter un joyeux anniversaire à une personne formidable et très adorable. Qu'Allah t'assiste, te préserve et te garde 🙏😘😘😘

_ Tu n'as pas vu que j'étais en essayage. Et puis je ne suis pas une machine. On aura un bébé lorsque ce sera le moment.

A pas de loup, il me retrouva à l'intérieur.

_ Tout ce que tu fais là n'est que distraction. Tu le prends comme argument pour ne pas craquer. Faisait-il défilé son index sur ma nuque. Il ne faut pas lutter contre ton désir. Si tu luttes ça ne finira jamais. Vient me retrouver dans la voiture dans 2 minutes.

_ Si tu ne me lâches pas je hurle je te préviens ! Tentai-je de la menacer

Il émit un sourire narquois.

_ Tu m'étonnes mais bien sûr que tu vas hurler. Se colla-t-il à moi

_ Laisse-moi me reposer un peu ce sera plus efficace après. Tentai-je de le duper

De sa main droite, il se mit à me caresser délicatement la joue.

_ Tu sais ce qui est efficace l'excès. Quand on s'est gaffé on n'a plus faim. J'espère que tu as profité de ta journée de libre car ça va durer un moment.............................................

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Aïd el Kabîr communément appelé Tabaski au Sénégal est la fête du sacrifice d'Abraham. Sacrifice qui constitue à donner en offrande un bélier. Mais de nos jours nous sommes bien loin de l'époque où il s'agissait simplement de sacrifier qu'un mouton....

Au Sénégal, la Tabaski est l'une des fêtes musulmane que ne l'on ne peut manquer de célébrer dignement. On peut se paraitre de nos anciens bijoux, nous habiller de nos anciens vêtements et même s'abstenir de ne pas avoir de nouvelles choses pour les autres fêtes telles que la Korité mais jamais lors de la Tabaski. Fêter la tabaski prend de plus en plus de proportions grandioses qui d'apparence n'ont aucun trait avec ce que cette fête exige ......

Parcelles Assainies unité 9.............

Il était 7h 10 lorsqu'un taxi stationna devant la demeure des Ka. Un grand boubou en soie blanc, voilée d'un foulard blanc, une grande écharpe blanche par-dessus les épaules, alors que le chauffeur sortait son mouton du coffre, Adama se mit à s'acharner sur la sonnette. Depuis qu'elle était devenue veuve, c'est chez sa mère qu'elle venait passer la Tabaski. Le portail en fer gris rouillé par la brise de mer à une dizaine de kilomètres de chez eux, grinça pour laisser apparaître le cadet de la maison.

_ Bonjour Sadio aide le chauffeur à entrer le mouton. Lui sourit sa grande sœur

_ Soubaka diam (Que ce matin soit un matin de paix) Marmonna l'oncle de Zahra dans sa barbe

Le fils de mère Ba lui céda le passage après l'avoir bien scruter. Toutefois il ne rechigna pas à obéir à la pharmacienne. Dans le couloir, Adama aperçu sa mère avec un sceau remplie d'eau se dirigeant vers les toilettes. Très vite, elle accourut lui tenir le récipient.

_ Mais Néné que fais-tu avec ça ? C'est lourd. Tu ne pouvais pas dire aux autres de l'amener pour toi. Se lamenta la mère de Nafy

_ (Ala wopou mi na wana baba ma loto) Non ma fille laisse je dois l'amener à ton père pour sa toilette.

_ Mon père ? Fronça sa fille les sourcils.

_ Borom dépense diourome fouk dé laye wakh. Vol de mort nieuw na demb. (Elle te parle de l'homme aux 250francs de dépense quotidienne. Vol de mort est venu hier) Informa Sadio en tirant la corde du mouton derrière lui.