Burning Sun ( le vrai titre est bcp plus choquant)

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Des filles n’ayant pas plus de 12 ans travaillent comme prostituées dans des clubs comme le Burning Sun
il y a environ une heure


Au milieu du scandale de Seungri, un écrivain a affirmé que les prostituées travaillant dans des clubs de Gangnam tels que le Burning Sun étaient aussi jeunes que des élèves de collège.

Kukmin Ilbo a récemment rapporté l’interview de l’écrivain Joo Won Kyu («Made in Gangnam») qui affirmait avoir été témoin de ce qui se passait dans les clubs et que ce qui a été rapporté jusqu’à présent n’est que la partie visible de l’iceberg.

Kukmin Ilbo a récemment rapporté l’interview de l’écrivain Joo Won Kyu («Made in Gangnam») qui affirmait avoir été témoin de ce qui se passait dans les clubs et que ce qui a été rapporté jusqu’à présent n’est que la partie visible de l’iceberg

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En 2016, Joo Won Kyu travaillait comme livreur et chauffeur pour les clubs Gangnam afin de jeter un coup d’œil pour livre qu’il écrivait à l’époque.

L’écrivain Joo a révélé que la drogue, la prostitution et la connivence policière sont beaucoup plus graves que prévu et que les innombrables prostituées sollicitées par ces clubs sont mineures. Il a ajouté qu’il avait même vu une prostituée qui n’était qu’à peine âgée de 12 ans.


L’écrivain Joo a expliqué: “Le GHB est très courant dans les clubs et les filles mineures sont nourries à de telles drogues puis forcées de vendre leurs corps à des hommes de la classe supérieure après les avoir incités à penser qu’elles sont majeures.”

Ce qui a motivé l’écrivain Joo à écrire sur les clubs à Gangnam, ce sont les interactions qu’il a eues avec des adolescents en fugue.

Il a avoué: «Il y a 4 ou 5 ans, j’ai interviewé environ 90 adolescents en fuite, et plus de 80 d’entre eux ont déclaré vouloir travailler dans un club Gangnam. Les filles ont déclaré vouloir travailler comme prostituées et gagner entre 5 et 10 millions de wons par mois (entre 3800 et 7700 euros) et que les garçons voulaient devenir des proxénètes. »


En conséquence, l’écrivain Yoo a approfondi la question afin de déterminer pourquoi ces enfants souhaitaient travailler dans les clubs Gangnam, ce qui a conduit à la publication de son livre primé «Made in Gangnam», sorti en 2009.

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