Chap 2 - 4: Tenues assorties

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« Le gamin a dit qu'il voulait rester à Disney pour une nuit, apporter donc des vêtements de rechange. »

« Rester une nuit? »

« Oui. »

Lovely hocha la tête: « Oh. Lequel tu veux apporter? »...en pointant les vêtements.

« À toi de voir. » Kenzo était très assuré de son goût.

Lovely jeta un coup d'œil à Kenzo puis l'aida à prendre un T-shirt noir et un jean: « Cet ensemble? ...Tu es généralement en tenue correcte et puisqu'on ira au parc d'attractions, un vêtement décontracté fera l'affaire. »

« Ok. Tu décides. » Entendant ce qu'elle venait de dire, Kenzo sentait inexplicablement qu'il leur semblait rare de s'entendre bien comme ça.

Lovely alla alors chercher ses propres vêtements. Elle prit un T-shirt oversize Moschino noir et un short en jean: « Je vais porter celui-ci, d'accord? »

Elle l'avait demandé avec désinvolture, et c'était seulement après avoir demandé qu'elle trouvait sa question un peu étrange.

Elle et lui n'avaient jamais été comme un couple ordinaire, leur atmosphère était soit dans une dépression, soit sur le point de former une dépression.

Avec la question de Lovely, il semblait qu'ils formaient un quelconque couple plutôt normal.

Kenzo jeta un coup d'œil, l' avait vu mettre ses vêtements devant lui en gesticulant, il hocha la tête: « Très bien. »

Lovely avait une très bonne silhouette, avec ses longues jambes droites et fines, ... elle était exceptionnelle quoi qu'elle portait.

Un peu embarrassée, elle se retourna et continua à faire ses valises.
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Le lendemain.

Lovely avait préparé une petite valise pour mettre les nécessaires à eux trois; et ils sortirent après le petit déjeuner. Dès qu'ils montaient dans la voiture, Orecchio pointa Lovely et Kenzo du doigt et dit: « Maman et papa vos tenues sont assorties. »

Lovely jeta inconsciemment un regard à Kenzo. Il portait un T-shirt noir et... elle aussi...

C'était bien si Orecchio n'avait rien dit, mais puisqu'il l'avait dit, elle se sentait très gênée.

Après tout, elle avait personnellement choisi les vêtements la veille ... et après qu'Orecchio l'avait dit, elle semblait avoir choisi le noir très délibérément ...

« Papa, n'est-ce pas? Pourquoi tu m'ignores? » L'aide divine d' Orecchio rendait Lovely plus embarrassée.

Elle caressa les cheveux qui tombaient de ses tempes. Elle avait peur de beaucoup transpirer en allant à Disney, alors elle avait délibérément attaché une queue de cheval haute et s'était légèrement maquillée. Elle paraissait jeune et énergique.

« Oui oui. », admit Kenzo inexplicablement ...

Il pouvait complètement considérer Orecchio comme un bébé qui s'inventait des histoires, il suffisait de l'ignorer. Mais il l'avait admis, ce qui fit légèrement rougir Lovely.

Elle se souvint qu'au moment où elle et Kenzo Sullivan avait décidé de se marier, elle avait acheté une tenue pour couple et s'était préparée à donner l'autre ensemble à Kenzo.

Mais quand elle l'avait apporté à lui; elle avait probablement choisi le mauvais jours ou peut-être qu'il était tout simplement de mauvaise humeur, bref il l'avait rejeté.

Dès lors, elle avait restreint son désir de vouloir porter une tenue de couple avec Kenzo.

Plus tard, au fil du temps, leur mariage était devenu de plus en plus ennuyeux, que cette idée n'était jamais revenue dans sa tête.

Maintenant, après qu'Orecchio avait fait ce "rappel", elle était en fait un peu heureuse ...au fond de son cœur.

La peau de Lovely était très sensible à l'exposition au soleil et elle veillait beaucoup sur l'hydratation. Elle ne cessait de pulvériser le spray solaire, même en faisant la queue pour jouer au carrousel.

Orecchio était tenue par Kenzo. Il regarda sa mère vaporiser du spray solaire et bougea son petit visage: « Maman, moi aussi. »

« Non non ce n'est pas pour les enfants, pour toi il suffit de porter un chapeau. » Lovely boucla la petite casquette sur la tête d'Orecchio.

Orecchio retroussa la bouche d'un air triste et boudeur.

Lorsque Lovely tenait le spray et était sur le point de le remettre dans son sac, elle prit soudainement un aperçu du visage de Kenzo du coin de son œil.

La peau de Kenzo appartient au type relativement blanc, pas blanc crémeux, mais d'une justesse inexplicable. Avec ce type de peau, ses traits du visage étaient plus clairs et agréable à voir. Bien sûr, la peau blanche était également plus sujette aux coups de soleil.

Elle secoua le spray, puis releva la tête et demanda à Kenzo: « T'en veux un peu? Ton visage est déjà tout rouge. »

« Non » Kenzo refusa de manière décisive, sans même y penser, « Truc féminin! Seules les femmes utilisent ce genre de chose ».

Lovely sourit sèchement: « Quand tu verras ton visage brûlé par le soleil demain matin, tu ne penseras pas que c'est juste un truc de femmes. Je te donne une dernière chance, t'en veux ou pas? »

Il pouvait se ficher de son visage, mais c'était contre le gré de Lovely.

Comment un si beau visage pouvait-il avoir un coup de soleil ? C'était désolant pour elle.

Kenzo Sullivan fronça légèrement les sourcils, comme pour le repousser. Mais avant de pouvoir refuser, Lovely pointa le spray sur lui, pressa et vaporisa le spray d'écran solaire directement sur son visage.

En plus, vaporisé sur son visage n'était pas suffisant, elle en avait également vaporisé sur ses bras et son cou.

Après avoir ressenti l'étrange contact sur sa peau, les sourcils de Kenzo froncèrent: « Visqueux. »

« Tu me remercieras,... demain. » Lovely sourit légèrement.

Kenzo voyait rarement Lovely sourire, elle n'était même pas à moitié douce devant lui. De la timidité face à lui auparavant, à l'indifférence maintenant, mais il n'y avait jamais eu de tendresse.

Voilà comment elle savait plaisanter parfois... C'était nouveau ça.

« Gahahaha.... » Orecchio regarda la réaction de Kenzo, son petit corps dodu tremblait en éclatant de rire.

«Ris encore, et on ne jouera pas au carrousel. » Kenzo menaça Orecchio.

Orecchio se tut aussitôt et voulut avec un air boudeur se plonger dans dans les bras de sa mère: «Maman, papa est méchant ... »

Vu qu'Orecchio s'approchait rarement de Lovely, c'était pour elle une occasion et elle tendit la main pour le tenir dans ses bras. Mais dans la seconde suivante, Kenzo attrapa le corps charnu d' Orecchio, ne le laissant pas bondir sur Lovely.

« Tu es gros comme une boule, ta maman ne peut pas te tenir. »

Orecchio: « ...... »

Lovely retroussa sa bouche en l'entendant: « Qui t'a permis de dire que mon fils est gros? »

Oui, elle avait encore plaisanté. S'entendre avec Kenzo aujourd'hui n'était pas aussi inconfortable qu'avant. Probablement parce que dans un environnement comme celui d'un parc d'attractions, l'état d'esprit de ces deux personnes était relativement détendu, non?





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⊙♂Hasard Codé♀⊙Where stories live. Discover now