Chap 3 - 2: Kenzo Sullivan, t'es supposé me détester!...?

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Environ quelques minutes plus tard, le cri de l'autre côté continua encore, des hauts et des bas. Lovely sentit qu'elle n'aurait peut-être pas à dormir de toute la nuit ce soir, donc elle resta couchée comme quelqu'un qui acceptait son sort avec résignation, immobile.

Après un certain temps, le lit semblait plus léger, elle sentit la personne à côté d'elle se lever et se diriger vers la salle de bain.

Kenzo s'est levé? Pour quoi faire? ... Lovely ouvrit légèrement les yeux, puis ses yeux suivirent la direction de Kenzo.

Il entra dans la salle de bain, mais sans attendre que Lovely eût pu penser à ce qu'il allait faire; tout à coup, il se dirigea vers la tête de son côté du lit et se pencha pour la sortir du lit ...

« Qu'est-ce que tu fais? » Lovely était vraiment décontenancée, sentant son corps suspendu en l'air, elle tendit la main et attrapa rapidement le bras de Kenzo.

Il portait un pyjama et elle tenait son bras fermement à travers le pyjama, ses ongles étaient presque enfoncés dedans, qui, devait sûrement l'endolorir.

Mais Kenzo ne s'en soucia pas, il s'avança et la mit sur le canapé à côté.

Le canapé n'était particulièrement pas large et y accueillir deux personnes était difficile, alors Kenzo se pencha directement sur elle, carrément.

Quand Lovely sentit le corps brûlant de Kenzo la toucher, c'était là qu'elle sut ce qu'il allait faire.

«Lâche-moi!» Lovely redevint la femme qui n'était pas du tout douce et qui avait un ton froid. « Si tu ne me lâches pas, on va devoir essayer de voir qui est le plus fort. »

Lovely avait reçu un entraînement physique strict, elle était forte et robuste.

Elle ne s'attendait pas à ce que l'homme au dessus d'elle eut un petit rire; ... ça l'avait surpris.

«Peu importe ta force, ça s'adoucira ... tout à l'heure. »

Ce petit rire était comme des plumes, grattant les oreilles de Lovely, et elle sentit soudain ses pavillons auriculaires s' amollir.

Ce qu'elle ne pouvait pas supporter le plus avait été les flirts de Monsieur Kenzo Sullivan. C'était le cas quand elle n'était que jeune fille. Puis elle ne s'attendait pas à ce que ce fût encore pareil après ce mariage au syndrome de la grenouille cuite.

'Je suis qu'une chiffe molle!' Pensa-t-elle en se méprisant.

« Lâche pas et crois-moi, c'est moi qui vais t'adoucir!! » Le regard de Lovely était amer et glacial, comme s'il n'y avait aucun désir.

« Essaie!! ça ne fera que le durcir de plus en plus. » Kenzo semblait être de très bonne humeur.

Lovely ne trouvait rien à répliquer. Elle venait de découvrir que Kenzo Sullivan était courtois et décent seulement à l'apparence, mais au fond, c'était un voyou au cœur coquin.

Cette fois, ou plutôt cette sortie, l'avait fait découvrir.

« Si tu ne peux plus l'endurer, vas dans la salle de bain pour le résoudre toi-même. T'y étais allé tout à l'heure non? Pourquoi retourné? » Lui proclama Lovely, de très mauvaise humeur.

Ce n'était pas qu'elle s'opposait à ce genre de chose, non, mais elle ne pensait pas qu'il était approprié pour elle de le faire avec Kenzo en ce moment.

Il ne l'aimait pas, et la détestait même auparavant, c'était à peine qu'il venait d'accepter petit à petit son statut de Madame Sullivan, pourquoi le ferait-elle avec lui?

La main de Kenzo était déjà trop indisciplinée pour rester calme, sa main s'était immiscée dans le pyjama de Lovely.

Elle frissonna de partout et se tendit.

La voix d'à côté continua, et les ondes étaient de plus en plus fortes. Cette voix semblait être un aphrodisiaque préparé, stimulant les nerfs d'eux deux.

Surtout, pour Kenzo.

Kenzo tint les deux mains de Lovely, se pencha et embrassa son cou blanc neige.

Lovely avait en elle un parfum unique, comme un petit chrysanthème sauvage. Il pouvait le sentir tous les soirs en dormant ensemble.

« Épouse légitime à mes côtés, pourquoi devrais-je le résoudre moi-même? » le Kenzo, qui était poussé par le désir, était en effet différent; comme s'il n'était pas la même personne.

Là, Lovely comprit tout de suite la raison pour laquelle il était parti et puis revenu ...

« Je ne le ferai pas. » Lovely exprima sa détermination en cinq mots, avec une attitude ferme.

Kenzo ne s'était pas arrêté, Lovely serra ses dents un peu irritée, « T'es sourd ou quoi? Lâche-moi! »

Kenzo avait été légèrement surpris par sa forte attitude, il ne s'attendait pas à ce qu'elle résistât autant.

« Tu me détestes à ce point? » L'expression de Kenzo devint également froide.

Dans sa mémoire, Lovely était toujours avec le visage inexpressif devant lui, il était rare de la voir rire, ... et ce, seulement quand Orecchio était présent.

À ses yeux, Lovely le détestait. Même si elle avait éprouvé quelque chose quand elle était plus jeune, ça devait être une impulsion momentanée, la passion s'était estompée, et maintenant elle avait une très mauvaise attitude envers lui.

« Tu n'es pas censé me détester toi? », Demanda Lovely en retour. Il n'y avait aucun sarcasme sur son visage, mais ses mots semblaient être une lame tranchante, « Kenzo Sullivan, ne me touche pas avec la main qui a touché Tricha, tu sais à quel point je la déteste. »

Lovely lutta pour se lever, et juste au moment où elle sentit qu'elle ne pourrait peut-être pas s'échapper ce soir, Kenzo la lâcha soudain.




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⊙♂Hasard Codé♀⊙Où les histoires vivent. Découvrez maintenant