⊙♂Hasard Codé♀⊙

Chap 5 - 3: Il va sauter dans le piège, je l'arrête?

    Le cabinet était situé dans le quartier CBD de Terza, dont les immeubles coûtaient de fortunes et les loyers étaient élevés. Seule une famille comme les Sullivan pouvait se permettre d'avoir un cabinet d'avocats de trois étages dans un tel emplacement.

Lovely et Kenzo se connaissaient depuis plus de dix ans. Elle ne comprenait toujours pas pourquoi il avait choisi cette profession d'avocat spécialisé en droit international.

Avec les Sullivan, inégalable de pouvoir et d'autorité dans la ville de Terza.

Avec quelqu'un comme Kenzo Sullivan, qui, était un homme calme, sage et prévoyant, ...toutes les qualités pour un grand homme d'affaires étaient en lui.

Mais... Il ne se livrait pas aux affaires; on ne savait combien de personne ne pouvait pas comprendre sa décision.

Au troisième étage du cabinet se trouvait le bureau de Kenzo. Il aimait le silence et detestait être dérangé par quiconque autour de lui pendant qu'il travaillait. Il avait donc une étage entière de bureau rien que pour lui.

Le bureau était décoré dans un style nordique extrêmement simple, avec des couleurs froides. Selon les mots de Rihan: '' l'abstinence a atteint l'extrême. Les gens auront douté que Kenzo Sullivan était frigide.''

Kenzo était en appel devant la baie vitrée de son bureau.

Il se trouvait en communication avec son père, Kenneth Sullivan, le CEO du groupe KS : « On en est où pour le cas de l'usine au Sud? Comment se déroulent les procédures? »

Les Sullivan avaient des dizaines d'usines près de Terza. Une explosion à petite échelle s'était produite dans une usine au Sud le mois dernier. Des travailleurs avaient été blessés et un procès était en cours.

«La première instance c'est après-demain, il n'y aura pas de problèmes.» Kenzo ne s'occupait lui-même que des affaires internationales, et le reste des affaires, y compris les questions de conseil juridique du groupe KS, étaient confiées à d'autres avocats du cabinet.

« Ok » dit Kenneth Sullivan d'une voix grave, d'un ton froid. « Maintenant que ton cabinet d'avocats est bien créé et en marche, reviens chez KS. Tu peux nous aider à faire beaucoup de choses, ce que te fais ne te rapporte pas beaucoup. Mais tu as assez traité avec des entreprises étrangères ces années-ci, tu peux prendre en charge le département du Commerce international. »

« Ça ne m'intéresse pas. » fit Kenzo avec un ton est très décisif, sans réfléchir.

« Tu as toujours dit que tu ne t'intéresse pas au business. Pendant tant d'années, tu veux diriger ce cabinet d'avocats et je te laisse faire. Tu n'as toujours pas assez joué? Regarde Konrad, les trois filiales sous sa responsabilité sont toutes bien gérées. Mais toi, effectivement, tu n'es qu'un gâchis comme ta mère! » La voix de Kenneth Sullivan devenait de plus en plus forte. On dirait qu'il était en train d'aimer bien châtier bien, mais Kenzo pouvait clairement comprendre l'ironie dans ses paroles.

« J'ai quelque chose à faire, faut que je raccroche. » Kenzo raccrocha, avec un air sombre comme de la brume.

Il fronça les sourcils et composa un numéro.

C'était celui de son assistant Adrien : « Oui, Monsieur! »

« Préparez les états financiers de l'entreprise de L.A pour ce trimestre et donnez-les-moi avant minuit. »

« D'accord. » répondit-il à l'affirmative. Il ne soupçonnait jamais les décisions et les ordres de Kenzo. « Monsieur, il y a quelque chose que... Mmm ...Konrad Sullivan semble enquêter sur notre entreprise à Los Angeles. Depuis que vous avez fondé cette société de capital-risque à Los Angeles il y a cinq ans... Au cours des cinq dernières années, personne n'avait douté de votre relation avec cette société, mais récemment, j'ai entendu des connaissances dire que Monsieur Konrad Sullivan semble savoir que c'est la vôtre. »

Kenzo restait silencieux pendant un long moment, et les articulations de ses doigts tenant le téléphone avaient légèrement blanchi.

Adrien demanda avec inquiétude: « Doit-on manœuvrer pour l'empêcher de poursuivre l'enquête? »

« Pas la peine, laisse-le continuer sa recherche. »

« Ne craignez-vous pas qu'il sache que vous avez une entreprise à l'étranger? » Adrien était très inquiet: Et s'il découvrirait? ça va tous ruinés!

Kenzo Sullivan l'avait caché à tout le monde pendant tant d'années ... Les tiers, y compris tout le monde dans la famille Sullivan, pensaient qu'il s'était concentré seulement sur le cabinet d'avocats ces dernières années et n'avait jamais touché aux affaires commerciales. Personne ne savait qu'il avait une société de capital-risque avec des bénéfices annuels extrêmement élevés à l'étranger.

« Il veut lui-même sauter dans le piège, je l'arrête? » demanda Kenzo en retour, « Allez vérifier quels projets Konrad est en train de faire récemment. »
« Oui, Monsieur. »

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