Chap 8 - 3 : COMPLIMENTS

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C'était la fin de l'automne. Elle s'était enfilée dans une robe d'automne, avait mis ses escarpins Manolo Blahnik émeraude nouveaux modèles et avait fait un maquillage nude.

La famille Diaz était une famille illustre, leurs ancêtres étaient des érudits de plusieurs générations. Ce n'était qu'à la génération du grand-père de Lovely qu'ils eurent commencé à se lancer dans les affaires.

Adepte de tout ce qui était pratiques de la noblesse,son père, Julyan Diaz, avait spécialement engagé quelqu'un à la former pourqu'elle soit devenue une célèbre débutante. Lovely eut appris systématiquement lesétiquettes de base et le savoir-vivre depuis l'enfance.

Qui savait que non seulement elle ne soit pas devenueune débutante titrée, mais qu'elle ait plutôt choisi de piloter un hélicoptère...

«Maman, tu essi belle aujourd'hui.» La porte s'ouvrit une petite fente, et une petitetête entra de l'extérieur, observant Lovely et lui dit avec un sourire.

Lovely avais mis ses boucles d'oreilles. Elle sourit,s'approcha et se pencha pour prendre Orecchio, qui était par terre, dans sesbras.

« Tu disdes paroles mielleuses maintenant hein? D'habitude tu dis toujours que ta mamanest méchante, non? »

Orecchio mit un doigt dans la bouche: « Papa m'a demandé de te complimenter,il a dit que tu es de mauvaise humeur. »

« ... » ... Kenzo avait demandé à Orecchio devenir???

« Ton pèrene m'a même pas vu et il t'a demandé de me complimenter que je suis belleaujourd'hui hein? » Lovely pensa que vraiment tous les hommes de cemonde disaient tous des flatteries.

Orecchio pencha la tête et bâilla: « Je, je sens que papa aussi est de mauvaise humeur aujourd'hui. Mamanest-ce que tu veux que je t'aide à complimenter aussi papa qu'il estbeau? »

«Non merci! Qu'ilrestes de mauvaise humeur.», murmura Lovely, «Allons manger en bas. »

Orecchio devint de plus en plus lourd maintenant, Lovelyeut du mal à le tenir, mais le petit gars refusait juste de la lâcher.

Dès qu'elle atteignit le palier du deuxième étage, unepaire de longs bras puissants prit Orecchio de ses bras. Lovely fut surprise,elle leva les yeux,...et... c'était Kenzo.

« Papa,maman m'a demandé de te dire que tu es très beau aujourd'hui! »

Lovely : « ???»

Orecchio, ce petit enfoiré de bonhomme flatteur!

Kenzo s'était changé en un ensemble de vêtementsdécontractés: une chemise blanche décontractée avec un jean, et... il avait l'airbeaucoup plus ...euh, proche? Intime?

« Jen'étais pas beau avant? », Kenzo regarda Lovely dans les yeux endemandant cela.

Lovely n'avait aucun moyen de transiger avec saconscience pour dire qu'il n'était pas beau, elle avait peur d'être frappée parla foudre au commande de l'hélicoptère ... Comme punition pour avoir dit desmensonges.

Lovely l'ignora en faisant la tête, les mots sur laroute à l'instant et le fait de l'avoirattendu directement à la porte de l'aéroport la rendirent encore mécontentejusqu'à présent.

Elle ne pouvait pas l'épargner aussi facilement, commesi elle était une fille facile à enjôler.

Après que cette pensée lui soit sortie de l'esprit,elle était elle-même un peu étonnée, il ne l'avait jamais courtisé... Commentpouvait-elle penser qu'il la courtisait en laissant Orecchio la complimenter?

Secouant la tête, elle descendit les escaliers, toujoursen l'ignorant.

Orecchio se courba tranquillement sur l'oreille de Kenzoet dit: «Maman est toujours en colère,papa tu es frit, maman est super méchante. »

Kenzo tendit la main pour frotter les cheveux doux d' Orecchio,et l' étreignit jusqu'à la grande salle à manger en bas.

La salle était déjà bondée.

La famille Sullivan était une grande famille. Seulementles trois villas en rangée comptaient déjà onze personnes qui y vécurent, sanscompter les autres. Ce jour, Kenneth Sullivan et sa femme Noëmie étaientrevenus de la succursale en Suisse et venaient de descendre de l'avion il n'y avaitque deux heures environ.

Kenneth et Noëmie vivaient dans une villa avec lecouple Kenzo Sullivan, ils étaient allés en voyage d'affaires à la succursaleen Suisse il y avait quelque temps et y étaient allés pendant plus de troissemaines. Leur retour était juste à temps pour le soixantième anniversaire de KennethSullivan, mais il n'aimait pas les cérémonies grandioses, alors il avait justeorganisé un dîner en famille et avait invité les membres de la famille à mangerensemble.

Quand Noëmie vit Lovely descendre, elle prit un petitcoffret cadeau et lui apporta: « C'estun cadeau que Maa t'a apporté de la Suisse. »

Noëmie était vraiment satisfaite de cette belle-fille,après tout, elle l'avait personnellement "choisi". S'il n'y avait pasde Noëmie, Lovely n'aurait pas pu épouser Kenzo Sullivan.

Noëmie portait une robe DG avec ses cheveuxgracieusement enroulés derrière la tête, elle ressemblait à une beauté au débutde la trentaine. On ne pouvait pas voir qu'elle avait plus de cinquante ans.Elle était née dans une famille riche, mais était la petite fille qui n'étaitpas favorisée dans la famille. Puis après avoir épousé Kenneth Sullivan,c'était pire encore: en tant que maîtresse qui avait emporté la place d'honneur,elle avait été blâmé par de nombreuses personnes, jugé de michetonneuse et tout.Mais Noëmie n'avait jamais semblé prendre à cœur les paroles de ces autrespersonnes.

Lovely prit le coffret cadeau. Noëmie l'apportaittoujours un cadeau chaque fois qu'elle partait en voyage d'affaires ou envoyage. Aux yeux des autres, c'était une manifestation de la considération desa belle-mère envers sa belle-fille. Mais Lovely savait que ce n'était qu'unefaçon pour les riches de jeter le grappin sur quelqu'un.

Elle maintenait une relation ni bien ni mal avec Noëmie,conservant la politesse de base, mais elle ne comptait pas se lierd'amitié avec cette belle-mère..

« Merci, Maa. »Lovely mit le coffret cadeau à côté, tira la chaise et s'assit à côté de Kenzo.Orecchio s'assit sur le siège bébé à côté d'elle, mangeant du pudding aucaramel avec une petite cuillère.


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⊙♂Hasard Codé♀⊙Where stories live. Discover now