L'héritier d'Acritomo

Chapitre n°21

Je rattrape Mike avant qu'il ne s'affale sur le sol et le porte jusqu'à sa chambre, je lui fais boire le reste de la mixture, qui aura décidément était très utile. Je reste à son chevet afin de garder un œil sur son évolution. Rei s'est retiré dans la bibliothèque avec l'idée d'élaborer des stratégies pour limiter les dégâts et la perte du peu de territoire dont nous disposons. 

Au bout de quelques heures, le maître des lieux semble décidé à se sortir de son sommeil. Il regarde partout sûrement pour anticiper une quelconque attaque. Je le rassure et lui dit de se reposer, je prends alors congé. Je crois que je vais aussi aller me reposer, je suis épuisé.

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Je suis alors entre deux mondes, c'est étrange, je vois Acritomo du ciel, que fais je à la place des dieux ? Je vois alors les ravages de la guerre. Des flammes, des arbres brûlés, des montagnes ravagés, l'eau polluée. Qui est à l'origine de ce champ de bataille. Une terre nous a été donnée, et qu'en avons-nous fait ? Qu'avons-nous fait à notre monde ? La paix est donc inatteignable pour les hommes et les mages ?
La silhouette revient et me montre un chemin, je la suis étant curieux, puis si j'ai tout compris elle est la gardienne de ma mémoire donc cela pourrait être utile d'en savoir plus. Elle me montre un autre souvenir dont je n'avais pas conscience.
Je suis avec mes parents et Rei.
Kazuki est absent, maintenant que j'y pense il n'aime pas ce genre de chose. Il y a les Volcanus et les Eole.
L'air de tout le monde et extrêmement grave. Je me rappelle ne pas avoir tout écouté, vu que père et mère m'avaient annoncé que je serai le seul à être envoyé dans l'autre dimension pour que je puisse survivre et qu'il y ait au moins un survivant des Neptumus, mais je me rappelle qu'ils avaient parlé d'alchimie et du fait que toutes les entités commençaient à avoir une volonté propre. Que cela signifiait il ? J'étais trop jeune et n'avais pas prêté attention à tout.

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Je me réveille doucement, non-rectification des lèvres me tire de mon sommeil. Je réponds au baiser de mon homme, que je me rends compte avoir délaissé depuis que la bataille s'est intensifiée,je m'en veux. Comment puis-je me faire pardonner ? 

Une main se glisse sous mon tee-shirt et vient jouer avec un de mes boutons de chaires, je me cambre. Je réponds au baiser de mon homme. Il va falloir que je trouve un équilibre entre bataille, stratégie, et moment câlin. Il continue de m'embrasser sauf que le temps de ma réflexion, il a introduit sa langue. Je perds la tête, je crie, gémis et me cambre. Langue que maintenant, il a laissé glisser sur mon cou, il le mord et me fait des suçons. Il m'enlève enfin mon tee-shirt afin de remplacer ses doigts par sa bouche. Il martyrise érotiquement et agréablement mes deux bourgeons. Moi, je suis déjà haletant, lui semble en parfait état, mais la bosse qui fais pression sur ma cuisse me prouve le contraire. Je laisse alors ma main se déplacer jusqu'à son sexe, déjà largement dur. Il se stoppe quelques secondes et retient un gémissement quand ma main masse avec une extrême lenteur son organe de plaisir. 

Puis il attrape ma main pour la mettre au-dessus de ma tête, il attrape l'autre et ainsi il maintient les deux au-dessus de ma tête. Il se stoppe quelques secondes et retient un gémissement quand ma main masse avec une extrême lenteur son organe de plaisir. Puis sans que je m'y attende il prend mon sexe en bouche.  

- Dave la prochaine fois fermez la porte, je ne pense pas que tous les gens présents souhaitent voir l'héritier des Neptumus en train de faire l'amour. On a du boulot la, on doit mettre en place un plan, et retrouver Kazuki et après vous aurez tout le temps de faire des héritiers.
-Ça fait beaucoup de chose à faire... !

Sous le choc, Bruce laisse ma queue s'échappe de l'entre chaude ou elle était, mon homme a débandé mais ce n'est pas mon cas, mon sexe et bien trop dure. Rei je vais te tuer ! 

Il éclate à nouveau de rire, je me relève le sexe droit, je suis dans une colère noire, je sais que Bruce n'est pas à l'aise, qu'il ne se sent pas à sa place, et que Rei débarque et nous en face la remarque au lieu de fermer la porte et de passer son chemin, putain, j'enrage Rei tu vas me le payé ! Il comprend visiblement que je suis en colère vu qu'il fait un pas en arrière et s'enfuit en courant.

Bruce sera incapable de faire quoi que ce soit, je m'occupe seul de mon sexe en me branlant rapidement pour éviter d'avoir mal, car il est sacrement dur et aussi pour pouvoir rapidement mettre une raclée à mon frère, non mais sérieux, il se prend pour qui ?! Puis enfin je jouis, j'embrasse mon homme encore choqué puis rejoins Rei, celui-ci et mort de rire, je le fusille du regard.

-Arrête de te marrer !
-Désolé mais je ne t'aurais jamais imaginé en dessous. C'est juste surprenant.
-Tu vas la fermer oui ?! Bruce est excellent quand il est au-dessus.
-Je ne veux pas savoir !
-Alors ne me cherche pas. 

Lui dis-je en lui faisant un clin d'œil complice et entendu. Puis je prends un papier et note la phrase qui est censée m'aider à résoudre « il te reste du boulot », « l'hiver est pour nous chaud et l'été est froid ». Puis Rei me tend la première partie de la troisième énigme.

-Mais ça ne veux rien dire, je suis d'accord que Kazuki aime le défis mais là ?
-Ce n'est que la première partie... Mais j'avoue que ça n'aide pas énormément. Et toi comprends tu ta partie ?
-Rei, j'ai résolu la tienne laisse moi du temps.
-Tu as raison je te laisse et vais me reposer. 

Je vois Rei sortir, il tremblait légèrement. On n'a pas pris le temps de correctement parler depuis son retour, je m'affale sur le fauteuil, j'ai un mauvais mal de crâne. On n'a pas pris le temps de correctement parler depuis son retour.

Point de vue Bruce

J'ai suivi David, je dois parler avec Rei avant de pouvoir faire face à l'homme que j'aime je les entends rigoler, puis je vois Rei sortir, il ne m'a pas vu alors je le rattrape.

-Tien Bruce, excuse moi pour tout à l'heure s'était plus Dave que je charrier que toi, j'espère que tu ne m'en veux pas.
-Non ça va aller, par contre il y a une chose dont je dois te parler.
-Bien, entendu, suis-moi le couloir n'est pas un endroit propice.