Chapitre n°24

6 0 0
                                    

Info avant de lire, ce chapitre ne contiens QUE du lemon, si vous n'aimez pas on se revois  pour le 25, n'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez bonne lecture.

-------

Le conseil ne me dit pas un mot. Je brise le silence.


-Cette dernière vision, c'est mon... Notre futur ?
-Il n'en tient qu'à toi de le changer.
-Oui, je le changerai, il est impossible que ça arrive.

Je me sens revenir dans mon corps. Doucement, j'ouvre les yeux Bruce et devant moi, il me regarde avec de grands yeux. Il me saute dessus, je n'ai pas le cœur de le repousser malgré cette étrange vision. Trop de choses tournent dans ma tête.
Déjà Rei et Bruce, je dois avoir une discutions avec chacun, il faut retrouver Kazuki et ensuite détruire cette pierre, mais aussi trouver qui est l'ennemi et pourquoi ça doit finir comme ça. Tout ça tout en tentant de changer ce futur funeste dont je semble être l'annonciateur.

Quelle plaie, il faut que j'arrête de penser à tout ceci et que je me concentre sur mon homme, je sens ses larmes couler, doucement en silence sur mon épaule. Il ne dit rien, moi non plus. Je le laisse se calmer.

Puis il se lève et s'apprête à me laisser, ses yeux, mon dieu pourquoi ai-je tant attendu avant de lui parler. Ils trahissent ce que ses lèvres disent. D'ailleurs, je n'écoute pas un mot de son discours qui tente de me rassurer. Je me lève, et approche ma main de sa joue, avec toute la tendresse dont je peux faire preuve, je la lui caresse. Il me regarde et ferme les yeux. Une larme s'échappe de ces yeux clos puis d'autre ruisselles le long de ces joues. Je n'aurai jamais imaginé que cette histoire le perturbait à ce point. Mais quel con. Je me sens minable, à tel point que ma main doit se crisper.

-Ne te blâme pas, personne ne pouvait le savoir.
-Moi, j'aurai dû pouvoir le voir bien avant à cause de moi, tu as trop souffert.
-Et toi, tu ne souffres pas peut-être ? David, ton pilier, c'est moi et non l'inverse.
-Être en couple ça veux dire être le pilier de l'autre. Dit moi tout ce que tu ne m'as pas dit depuis ce jour.
- Que veux-tu savoir?
-Tout.

Ma voix n'est plus qu'un murmure. Je suis en manque de ses mains de sa bouche de sa langue. Je suis en manque de lui, de sa peau. Je bifurque sur son cou pour le mordre, il gémit. Je compte bien finir ce que Rei à interrompus.

J'attrape mon homme par les hanches et le soulève, il noue ces jambes autour de ma taille, j'ai tout le plaisir de lui dévorer le cou et lui en fais de même. Putain faut que je me dépêche ou je risque de lui faire l'amour dans le couloir. J'arrive enfin à notre chambre que cette fois, je prends soin de fermer à clé. Puis pose délicatement mon amour sur le lit, il est rouge d'envie.

-Je vais te faire crier comme jamais.
- Je t'appartiens David Neptumus.

Doucement, avec une extrême lenteur, je me penche au-dessus de lui et l'embrasse passionnément, il gémit dans ma bouche, quand j'introduis ma langue.

En même temps que nous, nous embrassons, je déboutonne la chemise vert d'eau qu'il porte et qui dessine parfaitement son torse musclé. Lui, enlève rapidement ma chemise bleue glace, il est autant en manque que moi, il attrape, de ses doigts habile, un mamelon qui traîne et s'en occupe avec grand insistance. Dieu comment ai-je pu survivre si longtemps loin de ces doigts? J'ai enfin fini de déboutonner sa chemise. Nous gémissons dans la bouche de l'autre. Mes mains qui jusque-là étaient perdues dans ces cheveux se mettent à caresser doucement le torse de mon amant, instantanément, il se cambre. Il est déjà haletant juste avec mes doigts. Je bouge le bassin pour que nos deux membres rentrent en contact, la décharge de plaisir et énorme, le faisant crier, et moi gémir. Il pleure de bien-être, mais pas que du moins je pense.

-Bruce?
-Après ne t'arrêtes pas s'il te plaît... AH !

Je viens juste de donner un coup de bassin, j'ai soudain une idée, je fais apparaître de l'eau et me met à le caresser avec, il se cambre. La vue que j'ai est bandante. Mon homme en réclame plus, je l'attache avec une corde d'eau, il ne résiste pas, je délaisse enfin sa bouche et son cou pour venir lécher ce corps que j'aime tant. Il halète et gémit.

Je continue ma descente, et lui enlève son pantalon et par la même occasion son boxer, je me mets immédiatement à le sucer. Il hurle à s'en péter les cordes vocales.

Puis avant qu'il ne jouisse, il me demande de le détacher, et se déplace pour se mettre entre mes jambes et attaque lui aussi sa fellation. Puis sans que je m'en rende compte il me met deux doigts à l'intérieur.

Je gémis, moi qui pensais qu'il voulait être en dessous, je me suis bien gouré. Mais si c'est ce qu'il veut.

Encore une fois, il se stoppe juste avant que je ne vienne. Nous avons échangé les places, maintenant, c'est moi qui suis haletant. Il revient m'embrasser et plaque son érection contre la mienne, puis bouge sans me laisser une seconde de répits. Je te jure celui-là, enfin, je ne l'ai pas volé, puis c'est tellement bon puis il retire ces doigts et je sens un vide, mais ce n'est que pour mieux apprécier la suite, il me demande de me mettre à quatre pattes, j'obéi, puis il écarte mes fesses, et se met à me lécher toute la longueur, j'en tremble tellement c'est bon.

-Bru... Bruc... AH...

Toutes mes phrases se finissent en gémissement ou en cris de plaisir.

-Où est ta promesse de me faire crier ?
-Att... Attends, il n'y... Au... Aura, Pas qu'... Qu'un... Rou... Round. Oh putain continue oui... AH, c'est trop bon.

Il a enfin pénétré mon intimité de sa langue. Mon dieu, je ne savais pas qu'un anulingus était aussi déroutant et aussi excitant. Mon sexe me fais mal, il est dur comme de la pierre, sentant sûrement que mes gémissements ne sont plus totalement dû à l'extase. Il passe sa main sur mon sexe et avec une extrême lenteur, il le manipule appliquant des vas et vient en accords avec ses coups de langue. Je le supplie d'aller plus vite. Il cède et se positionne. Il me retourne sur le dos mes jambes sont sur ces épaules et il me pénètre d'un seul coup de riens. Je laisse glisser mes jambes qui se nouent sur ces hanches pour permettre une pénétration plus profonde, je m'accroche à sa nuque et je la dévore de morsure et de suçon, son dos à lui droit à mes griffures, j'étouffe mes gémissements dans mes morsures. Il me pilonne sans trêve, il ne faiblit pas dans la violence de ses coups, mais c'est tellement bon, je ne dis rien et subis ces assauts que j'aime tant. Puis le moment arrive et sans que je m'en rende compte je jouis dans de puissants jets. Mon anus se contracte autour du sexe de mon homme, celui-ci se libère dans un feulement rauque. Puis tombe sur moi épuisé.

- Tu ne crois pas t'en tirer comme ça, j'espère ? Dis-je alors que je retrouve doucement un rythme cardiaque et une respiration normale.

Un sourire espiègle apparaît alors sur son visage.

-Quoi tu veux te venger ?

Dit-il en riant et en me tournant le dos pour me provoquer un peu plus. Et bien, il a trouvé son adversaire.
Je lui attrape délicatement le visage et le force à se remettre sur le dos, pour l'embrasser passionnément, il s'abandonne et me donne tout de lui, je ne peux m'empêcher de lui dire.

-C'est ça abandonne toi à moi sans concession. Tout, comme tu es mien, je suis tiens.

Ces yeux s'ouvrent en grand mais ma main à déjà attaqué la suite que j'ai en tête depuis tout à l'heure, du coup il referme les yeux. Quelques larmes que je suppose être de joie coulent, je les lèche tendrement. Puis je le rattache avec ma magie, il soupire de bien-être.

-C'est ça abandonne toi. Ressens juste le plaisir d'être ensemble, le plaisir charnel que je te donne. Ce n'est qu'à ça que tu dois penser. Ne panse qu'à moi et à rien d'autre.

Je lui lèche les tétons très lentement. Je ne veux pas de ces actes rapides. Là ce que je veux, maintenant, c'est lui. Son corps. Son âme et son cœur. Je veux qu'il soit mien.

Doucement, je remonte vers sa clavicule que je mordille, il est déjà à bout de souffle. Je remonte jusqu'à son cou, sur lequel je m'acharne depuis le début de cette journée. Il est rouge tellement je l'ai mordu et sucé, mais ça montre qu'il est mien.

-David... Je suis entièrement tien ?

Il y a une souffrance impossible à ignorer. Je m'arrête quelques secondes pour le serrer dans mes bras, mais aussi pour lui répondre dans le creux de l'oreille.

-Bruce, oui tu es miens et nul sur ces terres ne pourra me faire démordre du contraire, si tu ne crois pas en ta légitimité crois en moi qui sais que tu es le plus digne d'être l'homme qui se tient à ma droite.

-Ne m'abandonne pas.
-Jamais.

Puis je repars à l'assaut de ce corps que j'aime tant. Je le lèche le suce le mord. Lui gémis se cambre. À cet instant je m en contre fous du royaume, de la guerre, de Kazuki de Rei de Mike et des sages, la tout ce que je veux c est que Bruce aille mieux qu'il puisse sourire à nouveau comme avant. Je n'ai que trop traîné pour lui parler.

Je vais me rattraper, alors qu'il est attaché à la tête de lit avec une corde d'eau j'ai soudain une idée, je le regarde dans les yeux et lui roule la plus belle et sensuelle pelle qu'on ne s'est jamais échangé.

À la fin il est encore plus haletant, remplis d'espoir et d'anticipation. Il est excité comme rarement, ma main va à la rencontre de son ventre que je caresse du bout des doigts rajoutant ma langue qui elle trouve un petit trou fort agréable à inonder de ma salive et a sucé aussi. Il se cambre, me mettant son sexe à hauteur de ma bouche, que j'attrape à la volée et suçote tendrement. Bruce gémis de bien-être.

-Ah... Pl.. Plus...
-Non, mon petit, tu vas devoir me supplier et être un gentil garçon bien obéissant.
-Yes, My Lord. AH !!!!

L'héritier d'AcritomoWhere stories live. Discover now