Chapitre 2: Partenaire.

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- He bien que voilà ?

Malgré le fait que mon Patron ce tienne devant moi, je ne peux retenir mon envie de sexe et continue les mouvements maladroits sur mon sexe.

- Mes inhibiteurs. . . S'il vous plaît, dis-je avec difficulté.

Il s'engouffre dans les toilettes et verrouille la porte, mes yeux s'écarquilles.

- Que. . Que faites-vous ?

Un sourire vient se dessiner sur son visage et ses lèvres se posent sur les miennes, abandonnant définitivement toute rationalité et de gêne face à mon patron, je l'embrasse comme si ma vie en dépendait. Il mêle nos langues à se baiser intense. Mes mouvent de va-et-vient s'intensifie, quand, soudainement, les longs doigts de mon patron se posent dessus m'arrêtant dans mon geste, il retire mes doigts tellement délicatement que j'ai l'impression de voir au ralenti. Il se relève et je commence à le déshabiller. Je le veux, je le veux tellement.

- Doucement, dit-il en essayant d'être calme ce qu'il n'est clairement pas.

Malgré ses mots, mon excitation n'en est que plus forte. J'arrive enfin à lui retirer son pantalon et je peux voir que sa virilité n'est pas minime. Je descends le dernier vêtement qui me sépare de ça partit que je prend directement en bouche.

- Humm, souffle le brun.

Il grogne de plaisir et je commence des mouvement qui semble lui plaire. Il relâche un peu plus de ses phénomènes qui m'excite plus si c'est possible. Mon esprit embrumé m'empêche de réfléchir. J'ai des difficultés à prendre sa virilité totalement en bouche, voyant ma difficulté, il appuie soudainement sur l'arrière de mon crâne, ce qui me fait lui faire une gorge profonde, un léger gémissement accompagne sa jouissance dans ma gorge, un liquide salé et chaud y glisse. Je me recule de son entrejambes toujours insatisfait, je défais mes vêtements retirant mon pantalon ainsi que mon caleçon. Je m'assois sur les toilettes et écarte mes jambes, la gêne ne parvenait plus.

- Je. . . Je la veux. . .dis-je avec difficulté.

- Comment veux-tu que je me calme de cette façon ?

Il se rapproche de moi et entre un doigt en moi, des gémissements incontrôlées sortes d'entre mes lèvres sous ses mouvements lent puis rapides.

- Plus. . . Monsieur plus. . .

Il rapproche ses lèvres de mon oreille ce qui me fait frissonner, il me suce le lobe et ajoute :

- Appelle moi Damen.

Il entre un second doigt en moi me faisant cambrer le dos. Il m'embrasse m'empêchant de gémir, il noue une fois de plus nos langues dans un ballet dépravé. Ses doigts font des mouvements de ciseau exquis et qui me font ressentir des sensations jusqu'alors oublier. Il retire ses doigts et un son de frustration sort de ma bouche, je regarde son sexe qui est désormais tendu.

- Patience, patience.

Il attrape son vêtement au sol, et fouille une de ses poches avec lequel il trouve une capote. Un court moment de rationalité me fait me demander pourquoi ce préservatif est là. Il déchire le paquet, sors le préservatif et le fait coulisse sur son membre gorgée de sang. Il appuie sur mon entrée et je ne peux m'empêcher d'onduler mes hanches, il entre en moi dans un mouvement d'excitation et d'envie.

- Haaaa.

Ses sons si érotiques, sont-ils de moi ? On dirait ceux d'une femme, son premier mouvement me coupe toute envie de réfléchir et de me laisser submerger mes bras à son cou et ses mouvements de plus en plus rapide en moi me font gémir.

Mon Alpha.On viuen les histories. Descobreix ara