Chapitre 24: Notre secret.

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Je me réveille par le bruit incessant dû réveille. J'ouvre doucement les yeux et vois Damen me regarder, moi dans ses bras. Je souris et je commence à passer mes doigts dans ses cheveux, je profite de se toucher pour fermer les yeux et penser à tout ce que l'on pourrait faire ensemble, en couple. Je nous imagine à Central Park ou bien dans un simple magasin entre de faire nos courses. Soudain mes doigts s'arrêtent de jouer avec ses mèches brunes. Je perds mon sourire, je n'aurais pas le droit à ça, malheureusement. Si jamais quelqu'un me voyait avec Damen, ça ferait du bruit on ferait des cherches sur moi pour trouver l'information la plus croustillante et je ne doute absolument pas de leur talent, mon secret ne ferait pas un mois. Je me retourne dans le lit et m'assieds, j'entre mon regard à celui de Damen. 

- Que doit-on faire Damen ? 

Il me sourit, je n'ai pas besoin de donner plus d'explication Damen, il a compris. 

- Je ne suis pas du genre à me cacher mais je ne suis pas seul, donc si tu ne veux pas en parler alors je ne le ferais pas, mais Nils n'oublie pas que les gens ne verront pas cette relation obligatoirement comme néfaste.

- Mais les gens ne sont pas toujours bon non plus.

Son pouce me caresse la joue, son sourire me réconforte tellement que toutes mes craintes pourraient s'envoler à un simple mot de ça part. 

- Mon amour, fais-moi confiance je ne dirais rien jusqu'à ce que tu sois près.

- Mer. . . Merci.

Je souris face à ce surnom qui sonne merveilleusement à mes oreilles. Je suis heureux qu'il soit si compréhensif, je lui fais un chaste baiser et reprends mon sérieux.

- Merci ! maintenant debout !

Je me lève retirant la couette qui nous gardait au chaud.

- Trop fatigué ! Dit Damen se couvrant légèrement la tête.

Je me mets à califourchon sur Damen, mes cuisses touchant avec douceur de ma peau. Je fixe mon beau brun.

- La prochaine fois je te promets qu'on ne le fera pas jusqu'à ce que tu t'évanouisses.

Je rougis et mets un coup de poing sur son torse protégé par la couverture. 

- C'est de ta faute ! Tu n'avais qu'à pas le faire toute la nuit. 

Il me sourit en coin, l'air pervers. 

- Mais je compte bien te faire mien jusqu'à ta mort.

Je rougis et malgré la tension dans cette chambre mon mode bourreau de travail ne me permettra pas de louper encore un jour de travail. Mais je sens quand même mon estomac se tordre quand je pense que Jonas ne va pas partir tout de suite. Mais quand je repense à la promesse de Damen je me force à sourire. Non, je ne risque rien. Je secoue légèrement la tête pour enlever ses idées de ma tête et me reconcentrer sur le positif : Damen. 

- Au boulot monsieur Gray !

- À vos ordres mon beau secrétaire.

J'éclate de rire. Oui, je ne risque rien. 

*

Nous sommes arrivés ensemble au boulot, mais personne n'a posé de questions. Je réalise mon travail quotidien énergiquement malgré mon agression d'hier. Je fais le compte rendu de ses mails qui son par ailleurs non chargé de message féminin, un bon signe car ça va réduire considérablement mon travail 

- Hey ! Nils ! 

Je me lève et vois Annie me faire signe de tous ses bras. Je souris devant l'étrangeté de mon amie. Malgré mon inintérêt pour ses gestes elle persiste, je soupire tout en souriant et vais rejoindre mon amie qui est resté une enfant. Pour mon plus grand plaisir. Je croise les bras devant elle, mais au lieu de me dire ceux du pourquoi elle m'a fait venir elle regarde autour de nous et me tire dans un coin plus calme. Elle regarde encore une fois à droite et à gauche comme si on allait nous épier. 

Mon Alpha.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant