Chapitre 9: Découvert ?

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Damen et moi nous, regardons. Je commence à paniquer, mais Damen avec un calme olympien ajoute: 

- Attendez quelques secondes un appelle important, dit Damen.

- Bien, répond la femme.

On stoppe immédiatement nos phéromones, je m'habille le plus rapidement possible. Damen va plus vite que moi et il ouvre une fenêtre laissant la douce odeur s'échapper. Damen bien habillé me murmure :

- Va dans la pièce adjacente, d'accord ?

- D'accord.

Sans plus attendre, je me dépêche d'aller devant cette porte blanche. J'essaie d'ouvrir la porte blanche, mais celle-ci est verrouiller, je montre à Damen la porte et lui chuchote qu'il me faut les clés. Il comprend et se met à chercher ses fameuses clés qui sont de toute évidence, introuvables. On se regarde et la panique me saisis plus fortement, je sens mon cœur s'accélérer. Mes mains deviennent moites et je sens que ma gorge se sèche au fil des secondes qui passe.

- Va sous le bureau ! Me presse Damen.

- Mais . . .

- Dépêche-toi ! Me coupe Damen.

Je regarde autour de moi, aucune échappatoire. Bon sang ! Je me glisse sous le bureau, où je ne me sens pas si à l'étroit. Damen s'assoit. Quand soudain l'idée de finalement rester dans le bureau me prends, évidemment, je suis son secrétaire, personne n'aurait rien dit. J'aurais pu juste m'asseoir et faire comme ci, je travaillais, mes lèvres s'entrouvre pour dire à Damen mon idée, mais celui-ci me coupe:

- Vous pouvez entrer.

- Bonjour, monsieur désolé de vous déranger.

- Aucun problème, répond Damen.

Malgré la position tendue dans laquelle nous sommes j'ai quand même envie de me venger pour son coup avec les phéromones. Je réfléchis à comment je pourrais le gêner sans pour autant me faire attraper. Un sourire malicieux vient de dessiner sur mon visage. Je pose ma main droite sur sa cuisse gauche, me rapprochant de sa virilité puis m'éloignant. Les jambes de Damen se croisent voulant m'obstruer le passage. Tu veux jouer ? On va jouer. Je ne prête plus attention à la conversation de Damen. Je glisse mes mains entre ses cuisses et arrive à ça partit intime. Je défait difficilement sa fermeture éclaire, mes doigt entre en contacte avec le dernier tissus qui me sépare de son sexe.

- Monsieur, je pensais que Nils était avec vous.

Je me stoppe voulant savoir sa réponse.

- Il a fini aujourd'hui, il me semble, ajoute posément Damen.

- Ho, s'exclame la voix féminine, heu, j'aimerais vous parler de quelques choses d'autre que des récents contrats signé. 

Je reprends ce que j'étais en train de faire.

- Je vous en pris. 

- Depuis quand dégager vous autant de sensualité, monsieur Gray.

Peut-être parce que je l'excite, pensais-je. Je me retiens de rire et force mes doigts à travers les cuisses de Damen. 

- Mademoiselle Will, je ne vous apprends rien en vous disant que vous n'êtes qu'une simple stagiaire, alors je vous serrez gray de rester à cette place. 

Quoi !? Encore elle, je me retiens de dire quelques choses. Cette stagiaire passe son temps à courir après les Alphas de la boîte, j'y suis d'ailleurs moi aussi passé. Depuis quand cette idiote passe au PDG ? Je manque de cogner ma tête contre le bureau, énerver par ce qu'elle vient de dire, mais à la place je presse fortement sur là partit intime de Damen.

- Aïe, lâche doucement Damen.

Je manque d'éclater de rire cette scène est tellement surréaliste, il y a quelques mois jamais je ne me serais imaginé ici. Moi sous le bureau de Damen, l'excitant avec une stagiaire dans la pièce. Alors que je pensais entendre la blonde se stagiaire, je n'entends qu'un bruit sourd venant du bureau. Ne me dis pas que la blonde est sur le bureau de Damen ?

- Un problème monsieur Gray ? Dit Emmy de façon aguicheuse.

Damen tape fortement son poing sur le bureau.

- Je ne le répéterais pas ! Si vous ne descendez pas immédiatement de mon bureau attendez-vous à de grosses répercutions, Mademoiselle Emilie Will ! S'énerve Damen.

J'entends Emilie descendre.

- Et moi qui pensais que vous couchiez avec n'importe qui, ajoute énerver Emmy.

- Je ne couche pas avec les stagiaires trop imbus d'elle-même, maintenant sortez ou je veillerais a ce que vous soyez, pour toujours, une stagiaire. 

Elle peste et j'entends la porte claqué. Damen s'éloigne et verrouille la porte. J'essaie de sortir, mais j'ai à peine pu souffler que Damen m'attrape et m'étale sur le bureau. Je le sens sur le point de craquer.

- Qui ne sait pas se contrôler maintenant ? Demandais-je légèrement jouette.

Un sourire sincère apparaît sur son visage.

- Maintenant Damen, je vais rentrer chez moi, ajoutais-je.

Il pose ses lèvres sur les miennes, alors que je devrais le repousser, je me sens étrangement à l'aise. Depuis quand j'aime ce contacte ? Cette sensation de chaleur, de toucher, qui ne disparais qu'après plusieurs minutes. J'aime embrasser cet homme, ce que je ressens me fait peur. J'ai peur que je ne sois qu'une simple distraction, de n'être que comme les autres qu'un vulgaire jouet à ses yeux. Nos lèvres se décollent, mais je les scelle une fois de plus, j'ai besoin de cette chaleur, de me sentir différent. Je les retires des siennes et je sors. Une fois la porte claquée, je soupire.

- Bordel Nils, tu fous quoi ? Me demandais-je à mon moi-même.

Je prends mes affaires commence et rentre chez moi. 


Je me pose sur mon canapé et mange un sandwich. Alors que les évènements d'il y a plusieurs longues minutes me reviennent, je secoue la tête. 

- J'ai besoin d'une douche !

Je commence à me diriger vers la salle de bain, retirant mes vêtements à chacun de mes pas. J'arrive dans ma salle de bain, nue. Je commence à faire couler de l'eau chaude, qui emplis bientôt la pièce d'une buée calmante. Je m'allonge dans cette eau qui m'extirper un soupir de bien êtres. Je mets une musique et me détends, je ferme les yeux. Tellement paisible. J'entends mon portable vibrer. Je prends mon téléphone, le déverrouille et au moment de lire la notification, je soupire. Alors que j'aurais dû répondre, je préfère rester déconnecter de tous les réseaux. 
Je repose mon téléphone et me re concentre sur moi-même. Alors que le téléphone vibre encore une fois, puis une autre. Je soupire et attrape ce satané téléphone, je le regarde et mes yeux s'écarquillent. Je regarde les trois notifications, "Annie", "Annie" et "Inconnus" ? 

Inconnus - Bien le bonsoir Nils. 

Nils - Qui est-ce ?

Inconnus -  Moi qui pensais que tu me reconnaîtrais de suite. 

Nils - Eric ? 

Inconnus - Je suis un peu déçu, tu sentais très bon tout t'haleur. 

Nils - Damen ? 

Damen - Enfin.


À suivre . . .


Mon Alpha.Where stories live. Discover now